Le président du Conseil Economique et Social (C.E.S), Marcel Zadi Kessi a rencontré le patronat ivoirien. C`était le mercredi 24 août 2011, au siège de la Confédération générale des entreprises de Cote d`Ivoire (Cgeci).
Le Président du Conseil économique et social est venu s’imprégner des réalités des entreprises, auprès du patronat ivoirien. Cette visite s’inscrit dans le cadre des activités d`un conseil soucieux d`améliorer le bien-être des populations.
La CGECI s`est d`abord présenté au Président du Conseil économique et social, avant de proposer sa nouvelle vision pour la Côte d’Ivoire à l`horizon 2040 : le défi du meilleur. Il ressort de cette présentation que le pays doit maintenir un équilibre complexe pour une forte croissance économique. Selon les intervenants, cela ne peut se réaliser sans que l’Etat ne donne sa véritable place au secteur privé.
Le patronat ivoirien compte 500 entreprises regroupées en 9 groupes professionnels, et emploie 100.000 personnes.
« Le secteur privé fait la promotion de la liberté et défend les intérêts de ses adhérents », a dit le président Jean Kacou Diagou. Le premier responsable du patronat a ensuite égrainé le long chapelet des préoccupations du secteur privé : le problème de sécurité des biens et des personnes, la créance de l’Etat et le dédommagement, l’amélioration du cadre des affaires, la justice et la fiscalité, etc. « Sans dédommagement, conclura-t-il, les entreprises ne peuvent pas participer au développement du pays ». Pour sa part, Marcel Zadi Kessi s’est dit heureux de rencontrer le patronat dont il fait lui-même, toujours partie : « Ensemble, nous trouverons des voies et moyens pour porter vos doléances à qui de droit ». Signalons, pour terminer, que depuis un mois, toutes les grandes entreprises à capitaux libanais ont adhéré à la CGECI afin d`aligner leurs activités sur les normes définies par l`Etat ivoirien. Comme quoi, la nouvelle Cote d`Ivoire est née sous Alassane Ouattara.
FN
Le Président du Conseil économique et social est venu s’imprégner des réalités des entreprises, auprès du patronat ivoirien. Cette visite s’inscrit dans le cadre des activités d`un conseil soucieux d`améliorer le bien-être des populations.
La CGECI s`est d`abord présenté au Président du Conseil économique et social, avant de proposer sa nouvelle vision pour la Côte d’Ivoire à l`horizon 2040 : le défi du meilleur. Il ressort de cette présentation que le pays doit maintenir un équilibre complexe pour une forte croissance économique. Selon les intervenants, cela ne peut se réaliser sans que l’Etat ne donne sa véritable place au secteur privé.
Le patronat ivoirien compte 500 entreprises regroupées en 9 groupes professionnels, et emploie 100.000 personnes.
« Le secteur privé fait la promotion de la liberté et défend les intérêts de ses adhérents », a dit le président Jean Kacou Diagou. Le premier responsable du patronat a ensuite égrainé le long chapelet des préoccupations du secteur privé : le problème de sécurité des biens et des personnes, la créance de l’Etat et le dédommagement, l’amélioration du cadre des affaires, la justice et la fiscalité, etc. « Sans dédommagement, conclura-t-il, les entreprises ne peuvent pas participer au développement du pays ». Pour sa part, Marcel Zadi Kessi s’est dit heureux de rencontrer le patronat dont il fait lui-même, toujours partie : « Ensemble, nous trouverons des voies et moyens pour porter vos doléances à qui de droit ». Signalons, pour terminer, que depuis un mois, toutes les grandes entreprises à capitaux libanais ont adhéré à la CGECI afin d`aligner leurs activités sur les normes définies par l`Etat ivoirien. Comme quoi, la nouvelle Cote d`Ivoire est née sous Alassane Ouattara.
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