Favoriser le bien-être des artisans. Pour réussir cette mission le ministère de l’Artisanat et des Pme a entrepris des démarches en faveur du recasement des artisans déguerpis lors de l’opération ville propre lancée par le gouvernement. Les premiers résultats sont satisfaisants. Pour l’heure, l’on a pu obtenir, 43 ha de parcelles du côté de N’Dotré, 5 sites d’un total de 30.000 m2 offerts par la commune de Yopougon. Cocody et Koumassi, donnent chacune 4 ha dans leurs zones. Anyama et Abobo sont au niveau de l’identification de sites pour une cession dans les prochains jours aux artisans.
L’information a été donnée le vendredi au siège dudit ministère par Touré Aly le directeur de cabinet en présence des représentants des mairies et du district d’Abidjan. « Cette opération qui permet d’assainir nos villes et communes et de lutter contre l’insalubrité, est à saluer. Les artisans eux-mêmes apprécient le nouveau cadre de vie que cette opération leur apporte » a-t-il affirmé. Pour résoudre cet épineux problème de recasement, il a demandé à ses hôtes, en attendant la réalisation du projet de construction du ‘’Village artisanal de Grand Bassam’’ ; d’une ‘’Casse moderne à N’Dotré’’ etc. de trouver des sites provisoires respectant les normes de l’urbanisme, aux artisans de leurs communes.
Selon lui : « Ceux qui payent le lourd tribut de cette
opération, ce sont les opérateurs du secteur de l’artisanat.
Eux là-même qui représentent le quart de la population active et contribuent pour 14% au Produit intérieur brut (Pib) ». Il a plaidé pour que des sites soient trouvés pour que les artisans puissent continuer leurs activités.
Fabrice Sébine
L’information a été donnée le vendredi au siège dudit ministère par Touré Aly le directeur de cabinet en présence des représentants des mairies et du district d’Abidjan. « Cette opération qui permet d’assainir nos villes et communes et de lutter contre l’insalubrité, est à saluer. Les artisans eux-mêmes apprécient le nouveau cadre de vie que cette opération leur apporte » a-t-il affirmé. Pour résoudre cet épineux problème de recasement, il a demandé à ses hôtes, en attendant la réalisation du projet de construction du ‘’Village artisanal de Grand Bassam’’ ; d’une ‘’Casse moderne à N’Dotré’’ etc. de trouver des sites provisoires respectant les normes de l’urbanisme, aux artisans de leurs communes.
Selon lui : « Ceux qui payent le lourd tribut de cette
opération, ce sont les opérateurs du secteur de l’artisanat.
Eux là-même qui représentent le quart de la population active et contribuent pour 14% au Produit intérieur brut (Pib) ». Il a plaidé pour que des sites soient trouvés pour que les artisans puissent continuer leurs activités.
Fabrice Sébine