La coopération entre la Côte d’Ivoire et le Fonds des Nations Unies pour la population (Unfpa), concernant le programme 2009-2013 a livré ses fruits. Sept ministères ont été dotés d’équipements et de produits médicaux, de matériels informatiques, d’appareils électroménagers et de matériels roulants. La cérémonie de remise groupée s’est déroulée ce 09 septembre au bureau de l’Unfpa à Cocody. La valeur totale du don est de 559 millions de F cfa. Les ministères concernés sont le ministère de la santé et de la lutte contre le sida, celui de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, le ministère de la famille, de la femme et de l’enfant, ainsi que celui de la promotion de la jeunesse et du service civique. Des collectivités centrales et des organisations non-gouvernementales ont aussi bénéficié du don. Selon la représentante de l’Unfpa, Suzanne Maïga Konaté, avec cet appui, le fonds voudrait contribuer à l’amélioration du fonctionnement des structures nationales intervenant dans les domaines liés à son mandat notamment la santé de la reproduction, l’éducation, la promotion du genre et des questions de population. Le ministre d’Etat, ministre du plan et du développement, Albert Mabri Toikeusse , a souligné que 6 axes principaux sont visés par ce don . « Nous nous engageons à en faire bon usage et les populations cibles seront bénéficiaires», a-t-il indiqué.
S.S
Il faut les rénover, maintenant
Les 50.000 étudiants de l’université de Cocody, les déplacés des universités de Bouaké et de ceux des Ures de Korhogo et de Daloa ont été l’une des gangrènes de ces dix années de crise. C’est un mal dont Abidjan et ses universités ont particulièrement souffert. Bouchées par le nombre pléthorique d’apprenants, au point que les nouveaux bacheliers avaient du mal à être casés. Et forcément, l’enseignement en a pris un coup de massue. On le sait, la réhabilitation des facultés de Cocody et d’Abobo-Adjamé, avec la construction de nouveaux amphithéâtres ne suffira pas à redonner à l’enseignement supérieur sa qualité d’antan. Il faut désengorger ces temples du savoir. Et qui dit désengorgement dit restaurer et moderniser l’université de Bouaké et les deux Ures de la capitale du Poro et de la cité des Antilopes. A défaut, bien sûr, de construire de nouvelles universités. Mais cela ne se fera pas après la proclamation des résultats du baccalauréat 2011 pendant que l’effectif des bacheliers non casés s’en ira crescendo. C’est maintenant, alors que Cissé Bacongo, le ministre de l’Enseignement supérieur retape les Universités de Cocody et de d’Abobo-Adjamé qu’il faut faire souffler ce vent de rénovation du côté de Daloa et de Korhogo.
Raphaël Tanoh
S.S
Il faut les rénover, maintenant
Les 50.000 étudiants de l’université de Cocody, les déplacés des universités de Bouaké et de ceux des Ures de Korhogo et de Daloa ont été l’une des gangrènes de ces dix années de crise. C’est un mal dont Abidjan et ses universités ont particulièrement souffert. Bouchées par le nombre pléthorique d’apprenants, au point que les nouveaux bacheliers avaient du mal à être casés. Et forcément, l’enseignement en a pris un coup de massue. On le sait, la réhabilitation des facultés de Cocody et d’Abobo-Adjamé, avec la construction de nouveaux amphithéâtres ne suffira pas à redonner à l’enseignement supérieur sa qualité d’antan. Il faut désengorger ces temples du savoir. Et qui dit désengorgement dit restaurer et moderniser l’université de Bouaké et les deux Ures de la capitale du Poro et de la cité des Antilopes. A défaut, bien sûr, de construire de nouvelles universités. Mais cela ne se fera pas après la proclamation des résultats du baccalauréat 2011 pendant que l’effectif des bacheliers non casés s’en ira crescendo. C’est maintenant, alors que Cissé Bacongo, le ministre de l’Enseignement supérieur retape les Universités de Cocody et de d’Abobo-Adjamé qu’il faut faire souffler ce vent de rénovation du côté de Daloa et de Korhogo.
Raphaël Tanoh