Le Bureau de la coordination des affaires des Nations Unies (UNOCHA) en Côte d’Ivoire, sous la présidence et en présence du ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, de la Solidarité, et des Affaires Sociales, M. Gilbert Kafana Koné, a organisé le mercredi 14 septembre 2011 à l’hôtel Tiama au Plateau, un atelier consultatif sur le processus de l’Appel consolidé (CAP).
Selon M. Ndolamb Ngokwey, Coordonateur humanitaire, l’Appel consolidé est un outil qui permet de mobiliser des fonds de façon concertée afin de permettre aux acteurs humanitaires de mettre en œuvre des activités en faveur des personnes affectées par un conflit ou une catastrophe naturelle. L’objectif dudit atelier est de se mettre d’accord sur les priorités et les stratégies de l’action humanitaire en 2012 pour la Côte d’Ivoire. M. Ngokwey a indiqué que la guerre est finie en Côte d’Ivoire, mais la crise humanitaire perdure dans certaines régions du pays affectées par les violences postélectorales, mais aussi dans d’autres régions du pays qui connaissent quelques poches de vulnérabilité, notamment l’insécurité alimentaire, la malnutrition et dans le domaine de la santé. Ainsi donc sur les 12, 740 milliards de FCFA d’aides promises, seuls 424 millions de FCFA ont été débloqués. L’Atelier, selon le ministre Gilbert Kafana, devra produire une analyse du contexte général et humanitaire pour un plaidoyer à l’aide afin de favoriser le retour libre, sécurisé et digne des réfugiés ivoiriens.
Olivier Guédé
Selon M. Ndolamb Ngokwey, Coordonateur humanitaire, l’Appel consolidé est un outil qui permet de mobiliser des fonds de façon concertée afin de permettre aux acteurs humanitaires de mettre en œuvre des activités en faveur des personnes affectées par un conflit ou une catastrophe naturelle. L’objectif dudit atelier est de se mettre d’accord sur les priorités et les stratégies de l’action humanitaire en 2012 pour la Côte d’Ivoire. M. Ngokwey a indiqué que la guerre est finie en Côte d’Ivoire, mais la crise humanitaire perdure dans certaines régions du pays affectées par les violences postélectorales, mais aussi dans d’autres régions du pays qui connaissent quelques poches de vulnérabilité, notamment l’insécurité alimentaire, la malnutrition et dans le domaine de la santé. Ainsi donc sur les 12, 740 milliards de FCFA d’aides promises, seuls 424 millions de FCFA ont été débloqués. L’Atelier, selon le ministre Gilbert Kafana, devra produire une analyse du contexte général et humanitaire pour un plaidoyer à l’aide afin de favoriser le retour libre, sécurisé et digne des réfugiés ivoiriens.
Olivier Guédé