Les principales missions
En matière Postale : assurer la réhabilitation, le développement, et la promotion du réseau postale, et mettre celui-ci en adéquation avec les besoins des ivoiriens, dans le respect des normes universelle, y compris à travers l’élaboration et la mise en œuvre d’un Code Postal adapté aux enjeux Ivoiriens.
En matière de Technologie de l’Information et de la Communication : définir une vision et une stratégie de développement durable du secteur, et mettre en œuvre les programmes et actions pertinents pour son développement, à travers un cadre institutionnel adéquat.
Etat des lieux du secteur de la poste et des Tics
Un développement remarquable depuis la reforme de 1995 marquée par la libéralisation sectorielle du marché des Tics :
• l’importance de plus en plus grande que les Tics prennent dans la formation de la richesse nationale (PIB) ;
• Une réelle diversité de l’offre et de la demande des services de communication voix (Téléphone), des avancées notables en termes de couverture réseaux au plan spatiale et de population.
Toutefois, ce développement reste mitigé au regard :
• D’une offre de services et réseaux larges bandes très insuffisante ;
• Un retard important dans la mise de réseaux de Nouvelles Générations (3G/4G..) ;
• Du taux d’équipement informatique très bas, et une insuffisante appropriation par les populations et groupe sociaux de l’utilisation des Tics en général, en particulier de l’Internet ;
• D’une absence avérée de toute politique et stratégie de développement de ressources humaine adaptées aux enjeux ;
• De la trop forte atomicité du marché de la téléphonie mobile (7 licences délivrées), avec de réels risques de fragilisation de ce marché important ;
• De la faible densité des services de téléphonie fixe, et la définition d’une stratégie claire du développement de l’opérateur historique, dans lequel l’Etat dispose d’une importante participation financière
• D’un cadre réglementaire totalement inadapté aux enjeux de développement de la société de l’information, et à l’établissement d’une économie numérique (gestion du marché, transaction électronique, sécurité numérique, etc.….)
• Inefficience totale des serves de la Poste Côte d’Ivoire, et inorganisation du secteur postal.
La vison du Gouvernement
Les Technologies de l’Information et de la Communication sont devenues un vecteur attesté de développement économique et social, grâce à leur capacité intrinsèque à réduire le temps et la distance, et de traitement de masses importantes d’informations.
En Côte d’Ivoire, leur poids et impact sur l’économie nationale sont d’ores et déjà devenus considérables au regard des agrégats macroéconomiques (investissement, emploi, formation du PIB, Ressources Etat…).
Pour autant, les performances des Tics en Côte d’Ivoire, en termes d’inducteur de développement et de progrès social, comparativement à des économies similaires, sont loin d’être du niveau escompté.
Ici, en la matière l’ambition du Gouvernement est de voir transformé le Pays, à horizon d’une décennie, en une société dont l’économie est basée sur le Savoir, grâce à l’appropriation durable des Tics, et à l’éclosion d’une véritable économie numérique.
Les perspectives et axes stratégiques de développement
Au niveau Postal 3 principaux axes
1. Mettre en place un nouveau code postal ;
2. Engager la Poste Côte d’Ivoire à assurer ses misons d’intérêt public et de redevenir un service apprécié des populations ivoiriennes ;
3. Restructurer l’entreprise et mettre en œuvre un plan de développement commercial, financier, et des ressources humaines de la Poste ;
En ce qui concerne les Tics sont définis 4 principaux axes
1. Reformer le cadre institutionnel et réglementaire ;
2. Prendre toute disposition de politique et d’incitation afin d’assurer la dotation du Pays en ressources Tics nécessaire au développement d’une économie numérique durable ;
3. Prendre toutes les actions susceptibles d’accroître et de faciliter l’accès du plus grand nombre à l’Internet en général y compris les services de large bande.
4. Remettre les exigences de formation des ressources humaines au cœur de l’ensemble de nos stratégies, y compris la réhabilitation des filières spécialisées de formation laissées en ruine.
En matière Postale : assurer la réhabilitation, le développement, et la promotion du réseau postale, et mettre celui-ci en adéquation avec les besoins des ivoiriens, dans le respect des normes universelle, y compris à travers l’élaboration et la mise en œuvre d’un Code Postal adapté aux enjeux Ivoiriens.
En matière de Technologie de l’Information et de la Communication : définir une vision et une stratégie de développement durable du secteur, et mettre en œuvre les programmes et actions pertinents pour son développement, à travers un cadre institutionnel adéquat.
Etat des lieux du secteur de la poste et des Tics
Un développement remarquable depuis la reforme de 1995 marquée par la libéralisation sectorielle du marché des Tics :
• l’importance de plus en plus grande que les Tics prennent dans la formation de la richesse nationale (PIB) ;
• Une réelle diversité de l’offre et de la demande des services de communication voix (Téléphone), des avancées notables en termes de couverture réseaux au plan spatiale et de population.
Toutefois, ce développement reste mitigé au regard :
• D’une offre de services et réseaux larges bandes très insuffisante ;
• Un retard important dans la mise de réseaux de Nouvelles Générations (3G/4G..) ;
• Du taux d’équipement informatique très bas, et une insuffisante appropriation par les populations et groupe sociaux de l’utilisation des Tics en général, en particulier de l’Internet ;
• D’une absence avérée de toute politique et stratégie de développement de ressources humaine adaptées aux enjeux ;
• De la trop forte atomicité du marché de la téléphonie mobile (7 licences délivrées), avec de réels risques de fragilisation de ce marché important ;
• De la faible densité des services de téléphonie fixe, et la définition d’une stratégie claire du développement de l’opérateur historique, dans lequel l’Etat dispose d’une importante participation financière
• D’un cadre réglementaire totalement inadapté aux enjeux de développement de la société de l’information, et à l’établissement d’une économie numérique (gestion du marché, transaction électronique, sécurité numérique, etc.….)
• Inefficience totale des serves de la Poste Côte d’Ivoire, et inorganisation du secteur postal.
La vison du Gouvernement
Les Technologies de l’Information et de la Communication sont devenues un vecteur attesté de développement économique et social, grâce à leur capacité intrinsèque à réduire le temps et la distance, et de traitement de masses importantes d’informations.
En Côte d’Ivoire, leur poids et impact sur l’économie nationale sont d’ores et déjà devenus considérables au regard des agrégats macroéconomiques (investissement, emploi, formation du PIB, Ressources Etat…).
Pour autant, les performances des Tics en Côte d’Ivoire, en termes d’inducteur de développement et de progrès social, comparativement à des économies similaires, sont loin d’être du niveau escompté.
Ici, en la matière l’ambition du Gouvernement est de voir transformé le Pays, à horizon d’une décennie, en une société dont l’économie est basée sur le Savoir, grâce à l’appropriation durable des Tics, et à l’éclosion d’une véritable économie numérique.
Les perspectives et axes stratégiques de développement
Au niveau Postal 3 principaux axes
1. Mettre en place un nouveau code postal ;
2. Engager la Poste Côte d’Ivoire à assurer ses misons d’intérêt public et de redevenir un service apprécié des populations ivoiriennes ;
3. Restructurer l’entreprise et mettre en œuvre un plan de développement commercial, financier, et des ressources humaines de la Poste ;
En ce qui concerne les Tics sont définis 4 principaux axes
1. Reformer le cadre institutionnel et réglementaire ;
2. Prendre toute disposition de politique et d’incitation afin d’assurer la dotation du Pays en ressources Tics nécessaire au développement d’une économie numérique durable ;
3. Prendre toutes les actions susceptibles d’accroître et de faciliter l’accès du plus grand nombre à l’Internet en général y compris les services de large bande.
4. Remettre les exigences de formation des ressources humaines au cœur de l’ensemble de nos stratégies, y compris la réhabilitation des filières spécialisées de formation laissées en ruine.