La Cellule d’analyse économique (Capec) a initié, récemment un atelier d’échange avec ses points focaux de l’administration publique d’une part, ceux du secteur privé et de la société civile d’autre part. A l’occasion, le président du comité de pilotage de la Capec, Komenan Mougo a rappelé les missions de cette structure : «Vous avez pour rôle de transmettre à la Capec les besoins des ministères, du secteur privé et de la société civile en matière de formation et d’études pour répondre à leurs préoccupations. Vous êtes également chargés de diffuser les résultats des études et des travaux de recherches de notre cellule au sein des organes que vous représentez. Vous êtes également invités à participer aux réunions des comités de concertation organisées par la Capec afin de permettre aux cadres du secteur public et du privé d’échanger sur les programmes prioritaires de développement pour lui permettre de connaitre les préoccupations à court et moyen terme». Le Docteur Alban Ahouré, directeur par intérim de la Capec, ne dit pas le contraire. Et de soutenir : «Nous savons que le développement ne peut se faire sans le capital humain, sans une ressource humaine suffisante quantitativement et qualitativement. Aussi, la croissance économique attendue par notre gouvernement à partir de 2012 devra-t-elle reposer sur une ressource mais également s’appuyer sur la recherche. La Capec, votre institution de développement des capacités est prête à vous accompagner, vous les ministères, vous le secteur privé, vous la société civile dans vos analyses, dans vos prises de décision; dans les différentes politiques et stratégies de relance post-crise»
B. Mafoumgbé
B. Mafoumgbé