Les acteurs du secteur culturel ont désormais la possibilité d’emprunter entre 1 et 155 millions FCFA pour la réalisation de leurs projets. L’opportunité leur est offerte à travers le Fonds de garantie des industries culturelles (FGIC), une initiative de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) et de la Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC).
La promotion de ce fonds était l’objet de la tournée qu’une délégation de la BIDC a effectuée à Abidjan, du 19 au 23 septembre 2011. Pour plus de lumière, le conseiller du président de la BIDC, Mohamed Diallo, responsable du FGIC, était face à la presse, le mardi 20 septembre dernier, au siège de l’AICF, aux Deux Plateaux-Les Vallons.
« La création de ce fonds en faveur des entreprises culturelles est un moyen de leur faciliter l’accès au financement en partageant le risque avec l’établissement de crédit qui finance l’opération », a-t-il indiqué. Les entreprises qui ont accès au fonds, selon lui, sont les PME-PMI dont le chiffre d’affaires annuel ne doit pas excéder un milliards FCFA, les personnes morales de droit privé légalement constituées qui opèrent dans le secteur culturel. Mohamed Diallo a précisé que les opérations autorisées sont le crédit, le crédit-bail et la caution bancaire.
Le responsable du FGIC a ajouté que l’opérateur doit avoir 20% du fonds qu’il sollicite, alors que la BIDC prendra en charge 80% du risque du prêt total. Pour finir, il a promis que le prêt pourra excéder 155 millions FCFA parce que les bailleurs de fonds sont intéressés par l’augmentation prochaine du fonds.
Quant au directeur des relations extérieures de l’AICF, Michel Diézion, représentant le DG de son institution, a dit son souhait que la mission du FGIC permettra à la Côte d’Ivoire de recevoir davantage de prêts pour développer les entreprises du secteur culturel. « Il est nécessaire de continuer la sensibilisation des populations sur l’existence du fonds en vue d’initiative privée culturelle », a-t-il recommandé.
Les NTIC, la presse écrite, la radio et la télé, la production et distribution cinématographique et audiovisuelle, la musique, le théâtre, la danse, les arts visuels, exploitation des salles de spectacles, etc., sont les domaines concernés par le FGIC, selon les conférenciers.
Gomon Edmond
La promotion de ce fonds était l’objet de la tournée qu’une délégation de la BIDC a effectuée à Abidjan, du 19 au 23 septembre 2011. Pour plus de lumière, le conseiller du président de la BIDC, Mohamed Diallo, responsable du FGIC, était face à la presse, le mardi 20 septembre dernier, au siège de l’AICF, aux Deux Plateaux-Les Vallons.
« La création de ce fonds en faveur des entreprises culturelles est un moyen de leur faciliter l’accès au financement en partageant le risque avec l’établissement de crédit qui finance l’opération », a-t-il indiqué. Les entreprises qui ont accès au fonds, selon lui, sont les PME-PMI dont le chiffre d’affaires annuel ne doit pas excéder un milliards FCFA, les personnes morales de droit privé légalement constituées qui opèrent dans le secteur culturel. Mohamed Diallo a précisé que les opérations autorisées sont le crédit, le crédit-bail et la caution bancaire.
Le responsable du FGIC a ajouté que l’opérateur doit avoir 20% du fonds qu’il sollicite, alors que la BIDC prendra en charge 80% du risque du prêt total. Pour finir, il a promis que le prêt pourra excéder 155 millions FCFA parce que les bailleurs de fonds sont intéressés par l’augmentation prochaine du fonds.
Quant au directeur des relations extérieures de l’AICF, Michel Diézion, représentant le DG de son institution, a dit son souhait que la mission du FGIC permettra à la Côte d’Ivoire de recevoir davantage de prêts pour développer les entreprises du secteur culturel. « Il est nécessaire de continuer la sensibilisation des populations sur l’existence du fonds en vue d’initiative privée culturelle », a-t-il recommandé.
Les NTIC, la presse écrite, la radio et la télé, la production et distribution cinématographique et audiovisuelle, la musique, le théâtre, la danse, les arts visuels, exploitation des salles de spectacles, etc., sont les domaines concernés par le FGIC, selon les conférenciers.
Gomon Edmond