Gnénéma Mamadou Coulibaly, ministre des Droits de l’Homme et des Libertés publiques était hier, dimanche 9 octobre 2011, sur le plateau de 13 heures de la RTI pour faire le point de la mission qu’il a effectuée en Europe dans le cadre des crimes graves qui ont été perpétrés en Côte d’Ivoire pendant la crise postélectorale.
«Nous cherchons une impunité zéro, c’est pourquoi, nous avons mis sur pied une commission nationale d’enquête qui va travailler sur les événements postélectoraux pour trouver les auteurs des graves crimes afin que les tribunaux puissent être saisis ». Tels sont les propos forts tenus par le ministre des Droits de l’Homme et des Libertés publiques, Gnénéma Mamadou Coulibaly. Aussi a-t-il souligné qu’il était en Europe à la 18è session du conseil des Droits de l’Homme, à la Cour internationale de Justice et à la Cour pénale internationale pour la saisine qui vise les graves crimes postélectoraux. Pour lui, les ossements trouvés sur le campus de Cocody méritent une enquête pour trouver les auteurs afin qu’ils répondent de leurs actes devant les tribunaux. A la question de savoir pourquoi la saisine ne prend pas en compte les crimes de 2002, le ministre répond que ceux perpétrés à partir du 28 novembre 2010 sont largement suffisants. «Avant notre arrivée à la tête de ce département, les Droits de l’Homme étaient dans l’abîme où nous essayons de les sortir», a martelé le ministre. En outre, il s’est réjoui de ce que sa mission a été couronnée d’un véritable succès parce qu’il a pu rencontrer à La Haye aux Pays-Bas, les autorités de la Cpi (Cour pénale internationale).
M. Ouattara
«Nous cherchons une impunité zéro, c’est pourquoi, nous avons mis sur pied une commission nationale d’enquête qui va travailler sur les événements postélectoraux pour trouver les auteurs des graves crimes afin que les tribunaux puissent être saisis ». Tels sont les propos forts tenus par le ministre des Droits de l’Homme et des Libertés publiques, Gnénéma Mamadou Coulibaly. Aussi a-t-il souligné qu’il était en Europe à la 18è session du conseil des Droits de l’Homme, à la Cour internationale de Justice et à la Cour pénale internationale pour la saisine qui vise les graves crimes postélectoraux. Pour lui, les ossements trouvés sur le campus de Cocody méritent une enquête pour trouver les auteurs afin qu’ils répondent de leurs actes devant les tribunaux. A la question de savoir pourquoi la saisine ne prend pas en compte les crimes de 2002, le ministre répond que ceux perpétrés à partir du 28 novembre 2010 sont largement suffisants. «Avant notre arrivée à la tête de ce département, les Droits de l’Homme étaient dans l’abîme où nous essayons de les sortir», a martelé le ministre. En outre, il s’est réjoui de ce que sa mission a été couronnée d’un véritable succès parce qu’il a pu rencontrer à La Haye aux Pays-Bas, les autorités de la Cpi (Cour pénale internationale).
M. Ouattara