Un atelier de réflexion de deux jours s’ouvrira jeudi à Grand-Bassam (sud-est, 25 km d’Abidjan) à l’initiative du gouvernement ivoirien pour débattre de la question de la réinsertion des ex-combattants après la meurtrière crise post-électorale.
Au moins 100 participants issus des départements ministériels, des structures étatiques chargées de la réinsertion des ex- combattants ainsi que de la société civile vont conduire une réflexion concertée pour définir un cadre de coordination optimale des activités de désarmement, démobilisation, réinsertion et de réintégration.
L’atelier vise à établir le bilan et le diagnostic des différentes activités de réinsertion, d’identifier les ex- combattants des Forces armées des Forces nouvelles (FAFN, ex rébellion du nord), des groupes d’auto-défense, des personnes associées aux Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI, nouvelle armée) mais également les personnes vulnérables et les personnes à risque.
L’atelier doit également établir un programme d’encasernement pour les soldats retenus pour la nouvelle armée, établir un programme de regroupement, de désarmement et de démobilisation pour les ex-combattants non retenus pour la nouvelle armée et définir les axes majeurs d’une politique nationale de réinsertion et de réintégration.
Conformément à l’accord de paix inter-ivoirien de mars 2007, l’armée nouvelle devrait absorber 9.000 ex-combattants rebelles mais la situation de 30.000 volontaires associés aux FRCI lors des affrontements post-électoraux reste à être résolue.
Sur ce nombre, 2.000 ont été retenus dans l’armée nouvelle et " le solde résiduel de 28.000 constitue un problème majeur pour la sécurité du pays".
En outre, il existe encore "une multitude" de jeunes qui ont été associés aux conflits au travers de groupes d’auto-défense, ou exposés aux conflits et rendus vulnérables, qu’il importe de réinsérer de manière plus globale, dans le cadre d’une politique soutenable de l’emploi, selon les organisateurs du séminaire.
Ils estiment "le nombre de personnes concernées par le processus de relance du désarmement, de la démobilisation et de la réinsertion de 55.000 à 70.000 à réinsérer".
Au moins 100 participants issus des départements ministériels, des structures étatiques chargées de la réinsertion des ex- combattants ainsi que de la société civile vont conduire une réflexion concertée pour définir un cadre de coordination optimale des activités de désarmement, démobilisation, réinsertion et de réintégration.
L’atelier vise à établir le bilan et le diagnostic des différentes activités de réinsertion, d’identifier les ex- combattants des Forces armées des Forces nouvelles (FAFN, ex rébellion du nord), des groupes d’auto-défense, des personnes associées aux Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI, nouvelle armée) mais également les personnes vulnérables et les personnes à risque.
L’atelier doit également établir un programme d’encasernement pour les soldats retenus pour la nouvelle armée, établir un programme de regroupement, de désarmement et de démobilisation pour les ex-combattants non retenus pour la nouvelle armée et définir les axes majeurs d’une politique nationale de réinsertion et de réintégration.
Conformément à l’accord de paix inter-ivoirien de mars 2007, l’armée nouvelle devrait absorber 9.000 ex-combattants rebelles mais la situation de 30.000 volontaires associés aux FRCI lors des affrontements post-électoraux reste à être résolue.
Sur ce nombre, 2.000 ont été retenus dans l’armée nouvelle et " le solde résiduel de 28.000 constitue un problème majeur pour la sécurité du pays".
En outre, il existe encore "une multitude" de jeunes qui ont été associés aux conflits au travers de groupes d’auto-défense, ou exposés aux conflits et rendus vulnérables, qu’il importe de réinsérer de manière plus globale, dans le cadre d’une politique soutenable de l’emploi, selon les organisateurs du séminaire.
Ils estiment "le nombre de personnes concernées par le processus de relance du désarmement, de la démobilisation et de la réinsertion de 55.000 à 70.000 à réinsérer".