La présidente de la Commission nationale des droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (Cndhci), Victorine Wodié, a déclaré que « les droits de l’Homme constituent le socle de toute société moderne et prospère et un indice de bonne gouvernance et de démocratie », lors de la cérémonie de présentation de son rapport annuel 2010. Une activité qui a eu lieu à la salle de conférences du ministère des Affaires étrangères, au Plateau, lundi 31 octobre. Ce rapport fait état des graves atteintes et des violations des droits économiques, sociaux et culturels des populations survenues lors de la crise postélectorale.
A cet effet, la Cndhci fait plusieurs recommandations à l’Etat de Côte d’Ivoire, entre autres, la prise en compte de mesures propres à lutter contre l’impunité et l’instauration de mécanismes favorisant l’accès équitable des jeunes à l’emploi. Aux acteurs politiques ivoiriens, elle suggère le respect des institutions et des lois de la République et l’éducation des militants aux règles de la démocratie. S’agissant des partenaires de l’Etat, Victorine Wodié recommande l’accompagnement du pays dans son programme de reconstruction post crise et leur soutien aux institutions et organisations des droits de l’homme.
Elle a, par la même occasion, suggéré aux populations vivant en Côte d’Ivoire d’accepter la réconciliation dans la vérité, la justice et le pardon et de respecter les lois et les institutions de la République. Victorine Wodié a, par ailleurs, salué les avancées notables de sa structure dévouée à la question relative aux droits de l’homme quant « à la prise en compte par les autorités de quelques-unes des recommandations de ses rapports précédents. Ce sont, entre autres, la ratification par le président Alassane Ouattara des protocoles facultatifs des droits des enfants et des protocoles additionnels à la charte africaine des droits de l’Homme.
MARIE PAULE KOFFI
A cet effet, la Cndhci fait plusieurs recommandations à l’Etat de Côte d’Ivoire, entre autres, la prise en compte de mesures propres à lutter contre l’impunité et l’instauration de mécanismes favorisant l’accès équitable des jeunes à l’emploi. Aux acteurs politiques ivoiriens, elle suggère le respect des institutions et des lois de la République et l’éducation des militants aux règles de la démocratie. S’agissant des partenaires de l’Etat, Victorine Wodié recommande l’accompagnement du pays dans son programme de reconstruction post crise et leur soutien aux institutions et organisations des droits de l’homme.
Elle a, par la même occasion, suggéré aux populations vivant en Côte d’Ivoire d’accepter la réconciliation dans la vérité, la justice et le pardon et de respecter les lois et les institutions de la République. Victorine Wodié a, par ailleurs, salué les avancées notables de sa structure dévouée à la question relative aux droits de l’homme quant « à la prise en compte par les autorités de quelques-unes des recommandations de ses rapports précédents. Ce sont, entre autres, la ratification par le président Alassane Ouattara des protocoles facultatifs des droits des enfants et des protocoles additionnels à la charte africaine des droits de l’Homme.
MARIE PAULE KOFFI