Le nouveau cadre harmonisé des marchés publics, adopté le 9 décembre 2005 par le conseil des ministres, marque une évolution majeure dans la gestion des marchés publics dans l’espace Uemoa. Les acquis de la réforme sont des instruments capables d’accélérer l’atteinte des objectifs en matière de lutte contre la pauvreté.
C’est pour évaluer les acquis de la réforme que l’Uemoa organise des ateliers dans les Etats membres. Celui de la Côte d’Ivoire se déroule du 16 au 18 novembre à Ivotel-Plateau.
Comme l’a relevé le directeur de cabinet adjoint, Emmanuel Kalou, représentant le ministre de l’Economie et des Finances, les Etats de l’Union ont déjà parcouru beaucoup de chemin dans la transposition des directives dans leur législation. Cependant, a-t-il reconnu, le processus n’est pas encore achevé. Il a alors salué les innovations introduites dans les directives parce qu’elles « répondent bien aux préoccupations actuelles de nos Etats confrontés aux besoins de plus en plus pressants des populations de sentir l’impact des politiques publiques sur leur vécu quotidien ».
Pour le directeur des finances publiques et de la fiscalité intérieure, Abdou Tahirou, représentant le président de la commission de l’Uemoa, il importe de sensibiliser les acteurs de la chaine de passation des marchés publics à la lutte contre la corruption et de vulgariser les acquis de la présente réforme. « Je suis confiant que les résultats de cette campagne clarifieront la perception qu’a chaque acteur de la corruption et sans nul doute permettront un e meilleure visibilité de la réforme des marchés publics dans l’espace Uemoa », a-t-il dit.
J-S Lia
C’est pour évaluer les acquis de la réforme que l’Uemoa organise des ateliers dans les Etats membres. Celui de la Côte d’Ivoire se déroule du 16 au 18 novembre à Ivotel-Plateau.
Comme l’a relevé le directeur de cabinet adjoint, Emmanuel Kalou, représentant le ministre de l’Economie et des Finances, les Etats de l’Union ont déjà parcouru beaucoup de chemin dans la transposition des directives dans leur législation. Cependant, a-t-il reconnu, le processus n’est pas encore achevé. Il a alors salué les innovations introduites dans les directives parce qu’elles « répondent bien aux préoccupations actuelles de nos Etats confrontés aux besoins de plus en plus pressants des populations de sentir l’impact des politiques publiques sur leur vécu quotidien ».
Pour le directeur des finances publiques et de la fiscalité intérieure, Abdou Tahirou, représentant le président de la commission de l’Uemoa, il importe de sensibiliser les acteurs de la chaine de passation des marchés publics à la lutte contre la corruption et de vulgariser les acquis de la présente réforme. « Je suis confiant que les résultats de cette campagne clarifieront la perception qu’a chaque acteur de la corruption et sans nul doute permettront un e meilleure visibilité de la réforme des marchés publics dans l’espace Uemoa », a-t-il dit.
J-S Lia