Réponse du berger à la bergère. La coalition pour le changement dirigée par Constant Koffi était hier, à l’hôtel Ivoire, face à la presse pour apporter la réplique au secrétaire général de la FESCI, Mian Augustin, concernant son exigence de la réouverture dans un bref délai de l’Université. Selon le patron de cette coalition, le dernier secrétaire général de la Fesci est mal placé pour prendre part au débat de la réforme de l’université en Côte d’Ivoire. Premier responsable de la mort de l’université, selon Constant Koffi, Mian Augustin, inscrit depuis 1995 à l’université et qui court toujours derrière une maitrise, a en sa charge de nombreux crimes commis sur les campus d’Abidjan et ne saurait se transformer aujourd’hui en victime.
«La FESCI et Mian Augustin ont transformé les cités universitaires en un lieu de prostitution, de vente de drogue, de crimes, d’exactions. A la faveur de la crise postélectorale, des mercenaires et des miliciens y ont été logés à la place des étudiants. La découverte d’ossements humains démontre toute la cruauté de la FESCI et son chef, qui ôtaient la vie sans remord», a-t-il martelé. Et de préciser que ces faits graves qui avaient cours à l’université sous l’ancien régime, ont bien évidemment pesé dans la balance de la destruction totale de l’école ivoirienne. Partant de là, la CPC digère très mal la ‘’mauvaise fois de Mian Augustin et sa volonté de déstabilisation du nouveau régime à travers son exigence de la réouverture immédiate de l’université’’. Par ailleurs, Constant Koffi approuvant la décision du pouvoir de rouvrir l’université en septembre 2012, a expliqué que celle-ci vise la remise sur les rails de l’université et de l’école ivoirienne qui est dans un coma profond depuis des nombreuses années. Pour lui, ceux qui ont favorisé l’assassinat de l’école et ont surtout sacrifié les destins des milliers de jeunes Ivoiriens doivent maintenant payer pour leur crime. «Mian Augustin qui n’a plus sa place à l’université doit impérativement répondre de ses crimes commis. La CPC porte une nouvelle plainte contre lui aujourd’hui (hier), au nom de ses victimes et parents de victimes auprès du tribunal de 1ère instance d’Abidjan pour crimes, tortures, viols et assassinats», a-t-il crié sa rage.
LO
«La FESCI et Mian Augustin ont transformé les cités universitaires en un lieu de prostitution, de vente de drogue, de crimes, d’exactions. A la faveur de la crise postélectorale, des mercenaires et des miliciens y ont été logés à la place des étudiants. La découverte d’ossements humains démontre toute la cruauté de la FESCI et son chef, qui ôtaient la vie sans remord», a-t-il martelé. Et de préciser que ces faits graves qui avaient cours à l’université sous l’ancien régime, ont bien évidemment pesé dans la balance de la destruction totale de l’école ivoirienne. Partant de là, la CPC digère très mal la ‘’mauvaise fois de Mian Augustin et sa volonté de déstabilisation du nouveau régime à travers son exigence de la réouverture immédiate de l’université’’. Par ailleurs, Constant Koffi approuvant la décision du pouvoir de rouvrir l’université en septembre 2012, a expliqué que celle-ci vise la remise sur les rails de l’université et de l’école ivoirienne qui est dans un coma profond depuis des nombreuses années. Pour lui, ceux qui ont favorisé l’assassinat de l’école et ont surtout sacrifié les destins des milliers de jeunes Ivoiriens doivent maintenant payer pour leur crime. «Mian Augustin qui n’a plus sa place à l’université doit impérativement répondre de ses crimes commis. La CPC porte une nouvelle plainte contre lui aujourd’hui (hier), au nom de ses victimes et parents de victimes auprès du tribunal de 1ère instance d’Abidjan pour crimes, tortures, viols et assassinats», a-t-il crié sa rage.
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