Le Secrétaire National à la Gouvernance et au Renforcement des Capacités, Méité Sindou, s’est entretenu hier, vendredi 25 novembre 2011, en son cabinet sis aux Deux-Plateaux Vallon, avec une délégation du PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement).
La délégation du PNUD que conduisait Sall-Sao Mohamed était composée de consultants internationaux et nationaux et a pour mission d’œuvrer à la formulation d’un cadre global stratégique pour des réformes administratives. «Nous sommes en cours de diagnostic, nous sommes en train de faire l’état des lieux. Il est prématuré de parler de constat», a fait savoir, Sall-Sao Mohamed, à sa sortie d’audience. Par contre, ce qu’il convient de retenir pour lui, c’est «qu’il y a cinq axes privilégiés. L’axe organisation administrative, cohérence des attributions, capacité de coordination du travail administratif. Un deuxième axe de centralisation, un troisième lié à la gestion économique et financière, un quatrième en ce qui concerne la gestion des ressources humaines et le cinquième qui s’intéresse au développement institutionnel (l’articulation, la coordination et notamment, les questions sociales)». Et d’ajouter que le satisfecit doit venir des populations et non des consultants du PNUD. C’est pourquoi, poursuit-il, il n’y a pas que l’administration qui est leur interlocuteur. Il y a aussi les institutions dites démocratiques et des entretiens et investigations au niveau des axes des organisations de la société civile. Ces consultations répondent à la mise en place d’un comité national de suivi conjointement animé par le ministère de la Fonction Publique et de la Réforme administrative et par le secrétariat national à la bonne gouvernance. S’il avoue que les ressources humaines ne sont pas suffisantes, Sall-Sao Mohamed admet cependant que le SNGRC en a les capacités et les ressources sur le plan méthodologique, conceptuel et stratégique. Les responsables du SNGRC se sont aussi entretenus avec le ministre de la Communication, Diakité Coty, sur le même sujet.
A Dedi
La délégation du PNUD que conduisait Sall-Sao Mohamed était composée de consultants internationaux et nationaux et a pour mission d’œuvrer à la formulation d’un cadre global stratégique pour des réformes administratives. «Nous sommes en cours de diagnostic, nous sommes en train de faire l’état des lieux. Il est prématuré de parler de constat», a fait savoir, Sall-Sao Mohamed, à sa sortie d’audience. Par contre, ce qu’il convient de retenir pour lui, c’est «qu’il y a cinq axes privilégiés. L’axe organisation administrative, cohérence des attributions, capacité de coordination du travail administratif. Un deuxième axe de centralisation, un troisième lié à la gestion économique et financière, un quatrième en ce qui concerne la gestion des ressources humaines et le cinquième qui s’intéresse au développement institutionnel (l’articulation, la coordination et notamment, les questions sociales)». Et d’ajouter que le satisfecit doit venir des populations et non des consultants du PNUD. C’est pourquoi, poursuit-il, il n’y a pas que l’administration qui est leur interlocuteur. Il y a aussi les institutions dites démocratiques et des entretiens et investigations au niveau des axes des organisations de la société civile. Ces consultations répondent à la mise en place d’un comité national de suivi conjointement animé par le ministère de la Fonction Publique et de la Réforme administrative et par le secrétariat national à la bonne gouvernance. S’il avoue que les ressources humaines ne sont pas suffisantes, Sall-Sao Mohamed admet cependant que le SNGRC en a les capacités et les ressources sur le plan méthodologique, conceptuel et stratégique. Les responsables du SNGRC se sont aussi entretenus avec le ministre de la Communication, Diakité Coty, sur le même sujet.
A Dedi