“(…) La récente évaluation de l’activité gouvernementale, effectuée les 10 et 11 octobre 2011 et qui consacrait le bilan des 100 jours du gouvernement, a permis de constater le taux satisfaisant de réalisation de ce programme. Le gouvernement est donc à la tâche. Les travaux d’envergure, qui démarrent ce jour, en sont une belle preuve. Ils réaffirment, si besoin en était, la volonté du gouvernement de respecter l’engagement qu’il a pris vis-à-vis des populations. Pour tout dire, le gouvernement a choisi de mettre l’accent sur la réalisation d’infrastructures de haute portée économique et sociale ; la route fait partie de ces infrastructures là. Ne dit-on pas que « la route précède le développement» ?
En Côte d’Ivoire, la route revêt en effet, un enjeu crucial. En même temps qu’elle est porteuse d’un gisement important de main-d’œuvre, elle ouvre des perspectives.
Le bonheur au bout du sacrifice
C’est pourquoi, dans ce vaste mouvement de reconstruction et de réconciliation engagé dans notre pays, la route peut être appréhendée comme facteur essentiel de développement économique et de cohésion sociale, notamment, par le rapprochement des populations et la mobilité des individus qu’elle favorise. Elle renforce, de surcroit, la rentabilité de l’activité économique.
Cette vision du développement, je la partage totalement et je veux prendre le pari que notre capitale économique saura bâtir, autour de ces infrastructures routières, un dynamisme économique nouveau, à la mesure du talent et de la créativité des hommes et des femmes de ce pays.
Ce n’est un secret pour personne que le secteur des routes et voiries a connu un grand ralentissement ces dernières années. Mais aujourd’hui, force est de reconnaître qu’il connaît un regain d’intérêt qui procède de la vision du développement du président de la République et du Gouvernement. C’est le lieu, pour moi ici, de décerner une mention spéciale - et c’est peu dire - à la Banque Mondiale, qui a pris une part considérable dans cette dynamique, en particulier, à travers le Projet d’urgence d’infrastructures urbaines.
A la liste appréciable des ouvrages à mettre à l’actif de ce dynamique projet, vient s’ajouter la réalisation de l’échangeur de la Riviéra 2, dont il me plaît de lancer les travaux ce matin.
Je voudrais, avec force et au nom du chef de l’Etat, renouveler la gratitude du peuple ivoirien à l’ensemble des partenaires au développement et, particulièrement, à M. Madani Tall, directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire, acteur infatigable, qui, à force de travail acharné tout au long de sa présence sur le sol ivoirien, impacte positivement le développement de nos infrastructures. Permettez-moi également de féliciter, en notre nom à tous, le ministère des Infrastructures Economiques, pour les efforts déployés en vue de doter notre pays d’infrastructures modernes. J’associe à ces félicitations les cadres et structures sous-tutelle de ce département pour leur engagement sur le terrain. Il reste cependant des efforts considérables à fournir pour satisfaire les besoins des populations. Je vous encourage vivement à entreprendre ces efforts. Mes encouragements vont également à l’endroit des entreprises du secteur des infrastructures, qui sont à l’œuvre, sur d’autres chantiers, pour redonner un nouveau visage à notre pays, la Côte d’Ivoire. Quant au choix porté sur le groupement Aid-Sartem pour l’exécution des travaux, il nous réjouit à un double titre : c’est une marque de confiance à un groupement constitué d’une entité ivoirienne et d’une entité iranienne.
Un exemple de coopération Sud-Sud
C’est là un beau message de coopération Sud-Sud. La Côte d’Ivoire, faut-il le répéter, reste ouverte à toutes les bonnes volontés qui veulent s’associer à son développement et à l’épanouissement de ses populations. Le gouvernement ne doute pas, un seul instant, que les différents acteurs de ce chantier livreront aux populations un ouvrage dont elles pourront être fières parce que beau et résistant à l’épreuve du temps. A présent, je m’en vais m’adresser aux autorités municipales et aux populations de Cocody et de Bingerville, qui seront éprouvées, durant les 12 mois de travaux, à faire montre d’un esprit civique élevé devant les désagréments que ne manqueront pas de créer la réalisation de ces travaux. Je vous invite à être patients, compréhensifs et coopératifs.
Apportez aux équipes techniques, sur le terrain, votre appui et la coopération utile, afin de garantir la bonne exécution des travaux.
Rien de grand, rien de beau ne se fait sans sacrifices.
C’est pourquoi, je voudrais rappeler aux uns et aux autres, que si nous voulons, dans un an, bénéficier d’un nouvel échangeur, il faudra que tout le monde puisse consentir à faire un minimum de sacrifice et d’effort. J’invite les usagers, les automobilistes, les transporteurs, chacun en ce qui le concerne, à aider à tenir les délais par le respect scrupuleux des consignes qui leur seront indiquées. A l’équipe d’exécution des travaux, je voudrais vous exhorter, à votre tour, à rester en symbiose avec les populations riveraines en utilisant, chaque fois que possible, nos jeunes valides qui attendent, impatiemment, eux aussi, à prendre une part active à la reconstruction de notre pays.
Je suis persuadé qu’ensemble, nous le pouvons et nous le réussirons.
En Côte d’Ivoire, la route revêt en effet, un enjeu crucial. En même temps qu’elle est porteuse d’un gisement important de main-d’œuvre, elle ouvre des perspectives.
Le bonheur au bout du sacrifice
C’est pourquoi, dans ce vaste mouvement de reconstruction et de réconciliation engagé dans notre pays, la route peut être appréhendée comme facteur essentiel de développement économique et de cohésion sociale, notamment, par le rapprochement des populations et la mobilité des individus qu’elle favorise. Elle renforce, de surcroit, la rentabilité de l’activité économique.
Cette vision du développement, je la partage totalement et je veux prendre le pari que notre capitale économique saura bâtir, autour de ces infrastructures routières, un dynamisme économique nouveau, à la mesure du talent et de la créativité des hommes et des femmes de ce pays.
Ce n’est un secret pour personne que le secteur des routes et voiries a connu un grand ralentissement ces dernières années. Mais aujourd’hui, force est de reconnaître qu’il connaît un regain d’intérêt qui procède de la vision du développement du président de la République et du Gouvernement. C’est le lieu, pour moi ici, de décerner une mention spéciale - et c’est peu dire - à la Banque Mondiale, qui a pris une part considérable dans cette dynamique, en particulier, à travers le Projet d’urgence d’infrastructures urbaines.
A la liste appréciable des ouvrages à mettre à l’actif de ce dynamique projet, vient s’ajouter la réalisation de l’échangeur de la Riviéra 2, dont il me plaît de lancer les travaux ce matin.
Je voudrais, avec force et au nom du chef de l’Etat, renouveler la gratitude du peuple ivoirien à l’ensemble des partenaires au développement et, particulièrement, à M. Madani Tall, directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire, acteur infatigable, qui, à force de travail acharné tout au long de sa présence sur le sol ivoirien, impacte positivement le développement de nos infrastructures. Permettez-moi également de féliciter, en notre nom à tous, le ministère des Infrastructures Economiques, pour les efforts déployés en vue de doter notre pays d’infrastructures modernes. J’associe à ces félicitations les cadres et structures sous-tutelle de ce département pour leur engagement sur le terrain. Il reste cependant des efforts considérables à fournir pour satisfaire les besoins des populations. Je vous encourage vivement à entreprendre ces efforts. Mes encouragements vont également à l’endroit des entreprises du secteur des infrastructures, qui sont à l’œuvre, sur d’autres chantiers, pour redonner un nouveau visage à notre pays, la Côte d’Ivoire. Quant au choix porté sur le groupement Aid-Sartem pour l’exécution des travaux, il nous réjouit à un double titre : c’est une marque de confiance à un groupement constitué d’une entité ivoirienne et d’une entité iranienne.
Un exemple de coopération Sud-Sud
C’est là un beau message de coopération Sud-Sud. La Côte d’Ivoire, faut-il le répéter, reste ouverte à toutes les bonnes volontés qui veulent s’associer à son développement et à l’épanouissement de ses populations. Le gouvernement ne doute pas, un seul instant, que les différents acteurs de ce chantier livreront aux populations un ouvrage dont elles pourront être fières parce que beau et résistant à l’épreuve du temps. A présent, je m’en vais m’adresser aux autorités municipales et aux populations de Cocody et de Bingerville, qui seront éprouvées, durant les 12 mois de travaux, à faire montre d’un esprit civique élevé devant les désagréments que ne manqueront pas de créer la réalisation de ces travaux. Je vous invite à être patients, compréhensifs et coopératifs.
Apportez aux équipes techniques, sur le terrain, votre appui et la coopération utile, afin de garantir la bonne exécution des travaux.
Rien de grand, rien de beau ne se fait sans sacrifices.
C’est pourquoi, je voudrais rappeler aux uns et aux autres, que si nous voulons, dans un an, bénéficier d’un nouvel échangeur, il faudra que tout le monde puisse consentir à faire un minimum de sacrifice et d’effort. J’invite les usagers, les automobilistes, les transporteurs, chacun en ce qui le concerne, à aider à tenir les délais par le respect scrupuleux des consignes qui leur seront indiquées. A l’équipe d’exécution des travaux, je voudrais vous exhorter, à votre tour, à rester en symbiose avec les populations riveraines en utilisant, chaque fois que possible, nos jeunes valides qui attendent, impatiemment, eux aussi, à prendre une part active à la reconstruction de notre pays.
Je suis persuadé qu’ensemble, nous le pouvons et nous le réussirons.
