Mme Amalaman, présidente de l’Ong, Watch my world, a essayé de donner une explication devant Anne Ouloto. Elle a dit avoir engagé ses balayeuses parce qu’elle était sûre d’obtenir un contrat avec le gouvernement, au vu de ses efforts sur le terrain. Sans toutefois être suffisamment franche avec ces femmes. Les autorités, elles, pensaient à un acte de bénévolat. Ce n’est que lorsque tout dégénère avec la grogne, qu’elle demande un rendez-vous avec la ministre pour lui dire la vérité. Pareil pour l’Ong Femmes de Côte d’Ivoire et l’Ong Jeunesse en action. Cependant, parmi ces organisations, certaines ont adopté une autre stratégie : payer les balayeuses, ensuite, attendre d’avoir des contrats pour entrer dans leurs frais. Avec cette option, seul le boss paie les pots cassés. Mais à toutes ces structures, la ministre a demandé d’éviter toutes représailles envers leurs employés après leurs manifestations.
R.T
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