Le premier Salon ivoirien de la jeunesse et de l’emploi s’est ouvert hier, au Plateau, à l’immeuble Caistab. Cette rencontre se veut une opportunité pour aider les jeunes à avoir de l’emploi.
«Dans un pays comme la Côte d’Ivoire, on n’a pas tout le temps besoin de cols blancs. Il n’y a pas que les diplômés qui sont utiles à la société. Il faut demander aux diplômés de se détourner un peu de la fonction publique et de penser à l’auto-emploi ». C’est ce que préconise, Alain Lobognon, ministre de la Promotion de la jeunesse et du service civique. Cette adresse a été faite hier, au Plateau, lors de la cérémonie d’ouverture du premier Salon Ivoirien de la jeunesse et de l’emploi. Cette rencontre se veut un moyen de lutter contre le chômage grandissant, car après plusieurs années de crises, la recherche d’opportunités d’emploi et d’auto-emploi pour les jeunes est un impératif. C’est pourquoi, selon Alain Lobognon, la Côte d’Ivoire n’a plus besoin de cols blancs, mais d’ouvriers qualifiés et diplômés. Il ajoute que les diplômés seront davantage utiles à la société, s’ils savent s’orienter. « Nous privilégions l’emploi en permanence. C’est pour cela que nous avons un répertoire de projets à proposer aux jeunes, afin qu’ils sachent qu’ils peuvent eux-mêmes devenir patron d’entreprise, être des salariés et pourquoi pas créer des emplois à d’autres jeunes », a-t-il souligné. Pendant ces jours, les jeunes diplômés ou non sont face aux acteurs du système de l’emploi. Le salon va donc fournir à ceux-ci les outils et les rudiments pour une insertion socioprofessionnelle réussie. « Ce contact physique favorise l’appréciation des potentialités par les jeunes demandeurs d’emploi. C’est pourquoi, nous avons tenu à associer les directeurs des ressources humaines », a-t-il indiqué. Pendant ces rencontres, des conférences seront dites. Il s’agira entre autres de montrer les techniques de recherches avancées d’emploi, notamment, comment monter un bon business-plan et l’inadéquation de la formation des diplômés aux besoins des entreprises. Le ministre exhorte les concernés à se vendre, à faire leur propre marketing auprès des opérateurs économiques. Notons qu’Alain Lobognon avait à ses côtés Méïté Sindou, le secrétaire national à la gouvernance et au renforcement des capacités.
S.S (stagiaire)
«Dans un pays comme la Côte d’Ivoire, on n’a pas tout le temps besoin de cols blancs. Il n’y a pas que les diplômés qui sont utiles à la société. Il faut demander aux diplômés de se détourner un peu de la fonction publique et de penser à l’auto-emploi ». C’est ce que préconise, Alain Lobognon, ministre de la Promotion de la jeunesse et du service civique. Cette adresse a été faite hier, au Plateau, lors de la cérémonie d’ouverture du premier Salon Ivoirien de la jeunesse et de l’emploi. Cette rencontre se veut un moyen de lutter contre le chômage grandissant, car après plusieurs années de crises, la recherche d’opportunités d’emploi et d’auto-emploi pour les jeunes est un impératif. C’est pourquoi, selon Alain Lobognon, la Côte d’Ivoire n’a plus besoin de cols blancs, mais d’ouvriers qualifiés et diplômés. Il ajoute que les diplômés seront davantage utiles à la société, s’ils savent s’orienter. « Nous privilégions l’emploi en permanence. C’est pour cela que nous avons un répertoire de projets à proposer aux jeunes, afin qu’ils sachent qu’ils peuvent eux-mêmes devenir patron d’entreprise, être des salariés et pourquoi pas créer des emplois à d’autres jeunes », a-t-il souligné. Pendant ces jours, les jeunes diplômés ou non sont face aux acteurs du système de l’emploi. Le salon va donc fournir à ceux-ci les outils et les rudiments pour une insertion socioprofessionnelle réussie. « Ce contact physique favorise l’appréciation des potentialités par les jeunes demandeurs d’emploi. C’est pourquoi, nous avons tenu à associer les directeurs des ressources humaines », a-t-il indiqué. Pendant ces rencontres, des conférences seront dites. Il s’agira entre autres de montrer les techniques de recherches avancées d’emploi, notamment, comment monter un bon business-plan et l’inadéquation de la formation des diplômés aux besoins des entreprises. Le ministre exhorte les concernés à se vendre, à faire leur propre marketing auprès des opérateurs économiques. Notons qu’Alain Lobognon avait à ses côtés Méïté Sindou, le secrétaire national à la gouvernance et au renforcement des capacités.
S.S (stagiaire)