Comme promis par le ministre de l’Economie et des finances lors de la signature de la convention de prêt des 32 milliards de Fcfa consacrés à l’apurement d’une partie de la dette intérieure, le Trésor public de Côte d’Ivoire a pris toutes les dispositions de manière à gérer dans la transparence la plus totale lesdits fonds. Ainsi l’on sait à l’avance le montant des portefeuilles destiné à chaque trésorerie aux entités déconcentrées et aux Epn. L’on sait également quelle catégorie de fournisseurs est concernée par la répartition.
Selon des sources proches du Trésor public, le payeur général du Trésor (PGI) aura le plus gros portefeuille de ressource à gérer, 15,8 milliards F Cfa. Tandis que l’ensemble des postes comptables déconcentrés à savoir les trésoreries générales, les trésoreries principales et les trésoreries de base auront une enveloppe globale de 4 milliards à gérer.
Les deux payeurs du Trésor détachés auprès des deux districts (Abidjan et Yamoussoukro) auront une dotation de 3 milliards pour payer les dépenses les dépenses ordonnancées par les deux gouverneurs de districts.
Les payeurs des communes auront une enveloppe de 4 milliards et ceux des conseils généraux 2 milliards de F Cfa. Les établissements publics nationaux 4 milliards
Le directeur général du Trésor et de la comptabilité publique, M. Koné Adama, qui tient à ce que les fournisseurs de l’Etat et de ses démembrements soient traités de manière équitable a donné aux comptables des instructions précises et fermes. Ainsi a-t-il défini trois critères essentiels dans le payement des dépenses. Le premier c’est que la totalité des fonds 32,8 milliards serviront exclusivement au payement des mandats des fournisseurs. Le second critère c’est le respect de la règle d’antériorité. Les factures les plus anciennes doivent être privilégiées. Comme on le voit, le directeur général ne fait pas de distinction particulière en ce qui concerne la nature ou la catégorie des fournisseurs.
Troisième critère important enfin, le directeur général du Trésor et de la comptabilité publique recommande le virement bancaire dans les procédures de payement. Afin d’éviter les procès d’intention, les accusations de pot de vin, etc. Et que l’argent de chaque fournisseur atterrisse dans ses comptes. Il n’a rien à payer.
Akwaba Saint Clair
Selon des sources proches du Trésor public, le payeur général du Trésor (PGI) aura le plus gros portefeuille de ressource à gérer, 15,8 milliards F Cfa. Tandis que l’ensemble des postes comptables déconcentrés à savoir les trésoreries générales, les trésoreries principales et les trésoreries de base auront une enveloppe globale de 4 milliards à gérer.
Les deux payeurs du Trésor détachés auprès des deux districts (Abidjan et Yamoussoukro) auront une dotation de 3 milliards pour payer les dépenses les dépenses ordonnancées par les deux gouverneurs de districts.
Les payeurs des communes auront une enveloppe de 4 milliards et ceux des conseils généraux 2 milliards de F Cfa. Les établissements publics nationaux 4 milliards
Le directeur général du Trésor et de la comptabilité publique, M. Koné Adama, qui tient à ce que les fournisseurs de l’Etat et de ses démembrements soient traités de manière équitable a donné aux comptables des instructions précises et fermes. Ainsi a-t-il défini trois critères essentiels dans le payement des dépenses. Le premier c’est que la totalité des fonds 32,8 milliards serviront exclusivement au payement des mandats des fournisseurs. Le second critère c’est le respect de la règle d’antériorité. Les factures les plus anciennes doivent être privilégiées. Comme on le voit, le directeur général ne fait pas de distinction particulière en ce qui concerne la nature ou la catégorie des fournisseurs.
Troisième critère important enfin, le directeur général du Trésor et de la comptabilité publique recommande le virement bancaire dans les procédures de payement. Afin d’éviter les procès d’intention, les accusations de pot de vin, etc. Et que l’argent de chaque fournisseur atterrisse dans ses comptes. Il n’a rien à payer.
Akwaba Saint Clair