Paris (France) – Le candidat socialiste français, François Hollande s’est engagé, s’il est élu, à opérer une rupture avec la "Françafrique" et a proposé de veiller à des relations devant reposer sur la solidarité dénonçant des « usages inacceptables ».
Français Hollande qui s’exprimait, mercredi, à l’occasion de son premier meeting de campagne pour le second tour de l’élection présidentielle, présentait sa politique étrangère.
Mais, il s’est montré très favorable à la francophonie tout en refusant des cautionner des élections frauduleuses.
S’agissant de l’Afghanistan, le candidat socialiste a affirmé qu’il procéderait dès qu’il est élu au retrait des unités combattantes. Il a estimé que depuis 2008, la France est devenue une force d’occupation. Ce qui l’a éloigné de sa mission première qui était de combattre le terrorisme et Ben Laden en Afghanistan.
Pour cette première conférence de presse, François Hollande a expliqué le fort taux de participation qui traduit, selon lui, la volonté des Français de s’exprimer mais aussi confirme l’échec du candidat sortant. Car, dira-t-il, « jamais un président sortant, candidat à sa propre réélection, ne s’est trouvé dans un tel cas de figure ».
Il a également souligné que la responsabilité du président sortant, Nicolas Sarkozy (UMP, droite) est grande dans la percée du Front national (extrême droite) et invité les Français à en tirer les leçons. Hollande a précisé toutefois que les explications sont nombreuses, citant notamment la crise financière, une prise de distance à l’égard de la parole politique et l’accumulation de promesses non tenues qui y est pour beaucoup.
Pour Hollande, cette montée du Front national montre l’échec du président sortant et la peur des Français liée à la crise financière, de la défaillance à l’égard du monde, la peur de perdre leur emploi, leur mode de vie.
Il s’est engagé à renégocier le traité européen, en vue dompter la croissance économique en France.« Mieux vaut avoir de la constance que de la contradiction », a-t-il déclaré à propos du vote des étrangers qu’il a noté comme étant un sujet vieux de 30 ans, depuis 1981. Il a réitéré que cela est inscrit au nombre des ses 60 propositions et c’est le parlement qui en déciderait, a-t-il relevé, reconnaissant que ce sujet ne fait pas l’adhésion de tout le monde.
Le candidat de gauche a déclaré qu’il veut rassembler les Français tandis que le candidat sortant veut diviser, à preuve la polémique, la discorde et surenchère créées autour de la question du premier mai, a-t-il indiqué.
Français Hollande qui s’exprimait, mercredi, à l’occasion de son premier meeting de campagne pour le second tour de l’élection présidentielle, présentait sa politique étrangère.
Mais, il s’est montré très favorable à la francophonie tout en refusant des cautionner des élections frauduleuses.
S’agissant de l’Afghanistan, le candidat socialiste a affirmé qu’il procéderait dès qu’il est élu au retrait des unités combattantes. Il a estimé que depuis 2008, la France est devenue une force d’occupation. Ce qui l’a éloigné de sa mission première qui était de combattre le terrorisme et Ben Laden en Afghanistan.
Pour cette première conférence de presse, François Hollande a expliqué le fort taux de participation qui traduit, selon lui, la volonté des Français de s’exprimer mais aussi confirme l’échec du candidat sortant. Car, dira-t-il, « jamais un président sortant, candidat à sa propre réélection, ne s’est trouvé dans un tel cas de figure ».
Il a également souligné que la responsabilité du président sortant, Nicolas Sarkozy (UMP, droite) est grande dans la percée du Front national (extrême droite) et invité les Français à en tirer les leçons. Hollande a précisé toutefois que les explications sont nombreuses, citant notamment la crise financière, une prise de distance à l’égard de la parole politique et l’accumulation de promesses non tenues qui y est pour beaucoup.
Pour Hollande, cette montée du Front national montre l’échec du président sortant et la peur des Français liée à la crise financière, de la défaillance à l’égard du monde, la peur de perdre leur emploi, leur mode de vie.
Il s’est engagé à renégocier le traité européen, en vue dompter la croissance économique en France.« Mieux vaut avoir de la constance que de la contradiction », a-t-il déclaré à propos du vote des étrangers qu’il a noté comme étant un sujet vieux de 30 ans, depuis 1981. Il a réitéré que cela est inscrit au nombre des ses 60 propositions et c’est le parlement qui en déciderait, a-t-il relevé, reconnaissant que ce sujet ne fait pas l’adhésion de tout le monde.
Le candidat de gauche a déclaré qu’il veut rassembler les Français tandis que le candidat sortant veut diviser, à preuve la polémique, la discorde et surenchère créées autour de la question du premier mai, a-t-il indiqué.