Quand elle aura fini de livrer tous ses secrets, la situation qui prévaut en ce moment au Mali s’offrira comme un cas d’étude pour les politologues et les experts en stratégies militaires et autres spécialistes des sciences politiques.
Nous saurons alors pourquoi et comment le Général Amadou Toumani Touré, Président de la République du Mali n’a pas vu venir l’ombre de ce qui est devenu le plus grand drame de la sous région. Une sécession politique doublée de l’instauration d’un intégrisme religieux. C’est incompréhensible, donc inexplicable, qu’un président, de surcroit militaire avec le grade de général ait laissé entrer librement sur son territoire des individus, fussent-ils des compatriotes, avec des armes de guerre qu’ils ont emmenées avec eux après une guerre perdue aux côtés du colonel Kadhafi. Surtout que ces personnes sont des adeptes du djihad, c`est-à-dire des personnes qui trouvent légal de faire une guerre, de tuer leurs semblables au nom de Dieu. Ils appellent cela la guerre sainte. Une véritable idiotie qu’un homme prétend venger Dieu le tout puissant qui donne la vie et la retire quand il veut, qui sait ce que nous pensons, qui connaît parfaitement notre passé et maîtrise notre avenir. Bref, il faudra bien expliquer un jour l’attitude de Toumani Touré.
L’histoire du Mali donc ne livrera tous ses secrets que devant le tribunal de l’histoire. Là bas, chacun des acteurs des vingt dernières années aura son procès. ATT bien sûr, mais surtout le capitaine Amadou Haya Sanogo, sans oublier Alpha Oumar Konaré. Toutefois, un simple témoin dont le témoignage peut être édifiant, devra tranquillement et librement dire ce qu’il sait de cette situation du Nord Mali. Il s’agit de l’ancien président le Général Moussa Traoré. Dans l’immédiat, dans la peine que j’éprouve en regardant les images de destructions des mausolées, des lieux saints de Tombouctou et de Gao, je pousse un petit soupir pour dire, et si Nicolas Sarkozy était encore le président de la France ? Lui avec la sensibilité qu’on lui connaît, il aurait habillé une intervention avec ses amis de Cedeao pour donner ordre à son armée d’aller protéger par tous les moyens tous ces patrimoines d’intérêt mondial.
Ne dit-on pas chez nous qu’il existe certains jours où chaque famille souhaite avoir en son sein la présence d’un sorcier ? Et voici que nos cœurs saignent devant l’impuissance de sauver les Maliens du Nord et avec leurs monuments.
Nous saurons alors pourquoi et comment le Général Amadou Toumani Touré, Président de la République du Mali n’a pas vu venir l’ombre de ce qui est devenu le plus grand drame de la sous région. Une sécession politique doublée de l’instauration d’un intégrisme religieux. C’est incompréhensible, donc inexplicable, qu’un président, de surcroit militaire avec le grade de général ait laissé entrer librement sur son territoire des individus, fussent-ils des compatriotes, avec des armes de guerre qu’ils ont emmenées avec eux après une guerre perdue aux côtés du colonel Kadhafi. Surtout que ces personnes sont des adeptes du djihad, c`est-à-dire des personnes qui trouvent légal de faire une guerre, de tuer leurs semblables au nom de Dieu. Ils appellent cela la guerre sainte. Une véritable idiotie qu’un homme prétend venger Dieu le tout puissant qui donne la vie et la retire quand il veut, qui sait ce que nous pensons, qui connaît parfaitement notre passé et maîtrise notre avenir. Bref, il faudra bien expliquer un jour l’attitude de Toumani Touré.
L’histoire du Mali donc ne livrera tous ses secrets que devant le tribunal de l’histoire. Là bas, chacun des acteurs des vingt dernières années aura son procès. ATT bien sûr, mais surtout le capitaine Amadou Haya Sanogo, sans oublier Alpha Oumar Konaré. Toutefois, un simple témoin dont le témoignage peut être édifiant, devra tranquillement et librement dire ce qu’il sait de cette situation du Nord Mali. Il s’agit de l’ancien président le Général Moussa Traoré. Dans l’immédiat, dans la peine que j’éprouve en regardant les images de destructions des mausolées, des lieux saints de Tombouctou et de Gao, je pousse un petit soupir pour dire, et si Nicolas Sarkozy était encore le président de la France ? Lui avec la sensibilité qu’on lui connaît, il aurait habillé une intervention avec ses amis de Cedeao pour donner ordre à son armée d’aller protéger par tous les moyens tous ces patrimoines d’intérêt mondial.
Ne dit-on pas chez nous qu’il existe certains jours où chaque famille souhaite avoir en son sein la présence d’un sorcier ? Et voici que nos cœurs saignent devant l’impuissance de sauver les Maliens du Nord et avec leurs monuments.
