ABIDJAN - Le chef de l`Opération des Nations unies en Côte d`Ivoire (Onuci), Bert Koenders, a réitéré mardi l`engagement des Nations unies à accompagner la Côte d` Ivoire dans l`instauration d`une culture des droits de l`homme pour un développement durable.
Selon un communiqué de la Mission transmise à Xinhua, Bert Koenders a réitéré cet engagement à la cérémonie d`ouverture à Yamoussoukro (centre, 230 km d`Abidjan) de la 52ème session de la Commission africaine des droits de l`homme et des peuples (CADJP), en présence du président ivoirien Alassane Ouattara.
"Sans la paix et la sécurité, les droits de l`homme restent fragilisés. L`inverse est vrai aussi : sans respect des droits de l`homme, il n`y a ni paix, ni sécurité", a déclaré le chef de l` Onuci.
Il a insisté sur "l`engagement continu" des Nations unies à accompagner les Etats africains et singulièrement la Côte d`Ivoire dans "l`action de consolidation de la paix et de la sécurité et l` instauration d`une culture des droits de l`homme pour un développement durable".
"Notre devoir de protection implique une politique réelle opérationnelle et visible de prévention contre toute atteinte aux droits de l`homme, mais elle implique également que les victimes des violations des droits de l`homme bénéficient de recours effectifs", a poursuivi M. Koenders appelant à un "système judiciaire indépendant, crédible et impartial" pour contribuer "de manière réelle" à la lutte contre l`impunité.
"Nulle part dans le monde, l`impunité n`a renforcé la justice et la paix", a-t-il martelé.
Bert Koenders a qualifié de "très important et positif" le fait que la Côte d`Ivoire ait soumis son premier rapport national à la Commission africaine des droits de l`homme.
Il a également salué la mise en place par le gouvernement de " mécanismes cruciaux de justice transitionnelle" regroupant à la fois des mécanismes judiciaires et des structures non judiciaires, notamment la Commission nationale d`enquête sur les événements liés à la crise post-électorale et la Commission dialogue, vérité et réconciliation (CDVR).
"Ces mécanismes doivent être conduits dans la transparence, l` impartialité et avec toute la fermeté nécessaire dans l`intérêt de la paix et de la réconciliation", a indiqué Bert Koenders.
Depuis une dizaine d`années en Côte d`Ivoire, de nombreuses violations des droits ont été constatées et dénoncées en liaison avec la rébellion armée déclenchée en 2002 et la crise post- électorale de 2010 et 2011.
La 52ème session doublée du 25ème anniversaire de la CADHP qui réunit près de 500 participants s`achève le 22 octobre.
Selon un communiqué de la Mission transmise à Xinhua, Bert Koenders a réitéré cet engagement à la cérémonie d`ouverture à Yamoussoukro (centre, 230 km d`Abidjan) de la 52ème session de la Commission africaine des droits de l`homme et des peuples (CADJP), en présence du président ivoirien Alassane Ouattara.
"Sans la paix et la sécurité, les droits de l`homme restent fragilisés. L`inverse est vrai aussi : sans respect des droits de l`homme, il n`y a ni paix, ni sécurité", a déclaré le chef de l` Onuci.
Il a insisté sur "l`engagement continu" des Nations unies à accompagner les Etats africains et singulièrement la Côte d`Ivoire dans "l`action de consolidation de la paix et de la sécurité et l` instauration d`une culture des droits de l`homme pour un développement durable".
"Notre devoir de protection implique une politique réelle opérationnelle et visible de prévention contre toute atteinte aux droits de l`homme, mais elle implique également que les victimes des violations des droits de l`homme bénéficient de recours effectifs", a poursuivi M. Koenders appelant à un "système judiciaire indépendant, crédible et impartial" pour contribuer "de manière réelle" à la lutte contre l`impunité.
"Nulle part dans le monde, l`impunité n`a renforcé la justice et la paix", a-t-il martelé.
Bert Koenders a qualifié de "très important et positif" le fait que la Côte d`Ivoire ait soumis son premier rapport national à la Commission africaine des droits de l`homme.
Il a également salué la mise en place par le gouvernement de " mécanismes cruciaux de justice transitionnelle" regroupant à la fois des mécanismes judiciaires et des structures non judiciaires, notamment la Commission nationale d`enquête sur les événements liés à la crise post-électorale et la Commission dialogue, vérité et réconciliation (CDVR).
"Ces mécanismes doivent être conduits dans la transparence, l` impartialité et avec toute la fermeté nécessaire dans l`intérêt de la paix et de la réconciliation", a indiqué Bert Koenders.
Depuis une dizaine d`années en Côte d`Ivoire, de nombreuses violations des droits ont été constatées et dénoncées en liaison avec la rébellion armée déclenchée en 2002 et la crise post- électorale de 2010 et 2011.
La 52ème session doublée du 25ème anniversaire de la CADHP qui réunit près de 500 participants s`achève le 22 octobre.