Annoncé pour 2012, le processus de libéralisation de l’espace audiovisuel ivoirien est finalement prévu pour 2013. Un report de date qui est apprécié avec beaucoup de philosophie par le président de la Haca, Ibrahim Sy Savané.
La libéralisation de l’espace audiovisuel ne sera pas pour demain. Et c’est de bonne guerre selon Ibrahim Sy Savané, président de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (Haca). Hier, l’ex-ministre de la Communication de Guillaume Soro a donné les raisons du retard de cette opération initialement annoncée pour 2012. C’était à l’ouverture d’un atelier d’information des membres de la commission d’examen des dossiers d’appel d’offres ou d’appel à candidatures.
« S’agissant de la libéralisation, nous entendons dire parfois qu’il faut aller vite pour rattraper notre retard ; qu’il faut aller lentement pour éviter les écueils. Nous pensons qu’il faut aller à un bon rythme, mais surtout, dans la bonne direction », a-t-il indiqué. Selon lui, c’est un processus qui fait appel en permanence à une réflexion et à des actions qui tiennent compte de l’environnement immédiat sans ignorer les contraintes techniques (transition numérique) ni les nouvelles normes. C’est pourquoi, il a soutenu que les exemples de réussite de libéralisations audiovisuelles sont ceux qui ont su faire preuve de cohérence stratégique, de cohésion dans l’exécution des tâches. « La réussite repose également sur les concertations dans les prises de décision.
Les exemples d’échec sont ceux où la confusion des rôles, les guéguerres institutionnelles inutiles ont freiné l’élan », a-t-il rappelé. De ce fait, toutes les actions de la Haca visent à rechercher la diversité et une bonne répartition des tâches. «En ce qui concerne la Haca, sa disponibilité est totale quel que soit le schéma retenu », a rassuré l’auteur d’ ‘’Espérances et d’émotions vives’’. L’atelier regroupant les neuf membres de la commission d’examen des dossiers d’appel d’offres ou à candidatures, présidée par Maïmouna Karpé Fofana, a permis aux participants de prendre connaissance du modèle de règlement particulier de cette étape. Ils ont aussi passé en revue le schéma de la libéralisation de l’espace télévisuel et les aspects techniques et programmatiques des dossiers. Le cadre juridique de l’opération leur a été spécifié.
Sanou A
La libéralisation de l’espace audiovisuel ne sera pas pour demain. Et c’est de bonne guerre selon Ibrahim Sy Savané, président de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (Haca). Hier, l’ex-ministre de la Communication de Guillaume Soro a donné les raisons du retard de cette opération initialement annoncée pour 2012. C’était à l’ouverture d’un atelier d’information des membres de la commission d’examen des dossiers d’appel d’offres ou d’appel à candidatures.
« S’agissant de la libéralisation, nous entendons dire parfois qu’il faut aller vite pour rattraper notre retard ; qu’il faut aller lentement pour éviter les écueils. Nous pensons qu’il faut aller à un bon rythme, mais surtout, dans la bonne direction », a-t-il indiqué. Selon lui, c’est un processus qui fait appel en permanence à une réflexion et à des actions qui tiennent compte de l’environnement immédiat sans ignorer les contraintes techniques (transition numérique) ni les nouvelles normes. C’est pourquoi, il a soutenu que les exemples de réussite de libéralisations audiovisuelles sont ceux qui ont su faire preuve de cohérence stratégique, de cohésion dans l’exécution des tâches. « La réussite repose également sur les concertations dans les prises de décision.
Les exemples d’échec sont ceux où la confusion des rôles, les guéguerres institutionnelles inutiles ont freiné l’élan », a-t-il rappelé. De ce fait, toutes les actions de la Haca visent à rechercher la diversité et une bonne répartition des tâches. «En ce qui concerne la Haca, sa disponibilité est totale quel que soit le schéma retenu », a rassuré l’auteur d’ ‘’Espérances et d’émotions vives’’. L’atelier regroupant les neuf membres de la commission d’examen des dossiers d’appel d’offres ou à candidatures, présidée par Maïmouna Karpé Fofana, a permis aux participants de prendre connaissance du modèle de règlement particulier de cette étape. Ils ont aussi passé en revue le schéma de la libéralisation de l’espace télévisuel et les aspects techniques et programmatiques des dossiers. Le cadre juridique de l’opération leur a été spécifié.
Sanou A