La Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) a organisé un atelier de formation à l’intention de plus de cent femmes entrepreneures, le lundi 19 novembre dans un hôtel au Plateau.
« Renforcement des capacités managériales des femmes entrepreneures », tel est le thème que la direction générale de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) a choisi pour un atelier, qu’il a organisé le lundi 19 novembre à l’intention de plus de cent femmes de divers secteurs d’activités, entre autres, du commerce, de la distribution, de l’agro-industrie, de la nutrition etc. « Le présent atelier vise donc à amener les femmes à cerner leur rôle de manager, et à s’approprier leurs compétences et valeurs afin qu’elles reçoivent les capacités nécessaires pour être de véritables managers dans leurs différents secteurs d’activité. Femmes entrepreneures de tous secteurs, le renforcement de nos capacités est l’une des clés de la réussite de nos activités. Et en sortant de cet atelier, nous espérons voir des femmes entrepreneures au fait des questions managériales afin d’avoir un impact positif sur notre société », a déclaré Massogbè Touré, la présidente de la Commission de Développement de l’Entreprenariat féminin (CDEF). A l’en croire, les femmes entrepreneures ont besoin de recyclage et de connaissances pour atteindre leurs objectifs. La présidente de la CDEF a demandé aux femmes entrepreneures de tenir compte de la question du genre, dont le gouvernement fait la promotion, pour se mettre à niveau pour en tirer profit. Au cours de son allocution, Massogbè Touré, a rappelé que la présente formation intervient huit mois après celle qui a porté sur « Quelles femmes entrepreneures pour un développement économique durable de la Côte d’Ivoire dans le cadre du programme de relance post-crise », assorties de résolutions claires, à savoir :
- la création d’un fonds de garantie ;
- une ligne de crédit pour les femmes ;
- la solidarité entre les femmes ;
- l’appui institutionnel et la volonté politique à la gente politique ;
- le réseautage ;
- l’acquisition d’une maison de la femme entrepreneure ;
- et la création d’un prix de l’entreprenariat féminin.
Le directeur général de la CGECI, Lakoun Ouattara, a également encouragé les femmes entrepreneures à se former. La formation a été assurée par Aicha Moulod, chef d’entreprise et Dr Binaté, docteur en économie, enseignante à l’université FHB, et chercheur au CIRES.
Jérémie junior
« Renforcement des capacités managériales des femmes entrepreneures », tel est le thème que la direction générale de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) a choisi pour un atelier, qu’il a organisé le lundi 19 novembre à l’intention de plus de cent femmes de divers secteurs d’activités, entre autres, du commerce, de la distribution, de l’agro-industrie, de la nutrition etc. « Le présent atelier vise donc à amener les femmes à cerner leur rôle de manager, et à s’approprier leurs compétences et valeurs afin qu’elles reçoivent les capacités nécessaires pour être de véritables managers dans leurs différents secteurs d’activité. Femmes entrepreneures de tous secteurs, le renforcement de nos capacités est l’une des clés de la réussite de nos activités. Et en sortant de cet atelier, nous espérons voir des femmes entrepreneures au fait des questions managériales afin d’avoir un impact positif sur notre société », a déclaré Massogbè Touré, la présidente de la Commission de Développement de l’Entreprenariat féminin (CDEF). A l’en croire, les femmes entrepreneures ont besoin de recyclage et de connaissances pour atteindre leurs objectifs. La présidente de la CDEF a demandé aux femmes entrepreneures de tenir compte de la question du genre, dont le gouvernement fait la promotion, pour se mettre à niveau pour en tirer profit. Au cours de son allocution, Massogbè Touré, a rappelé que la présente formation intervient huit mois après celle qui a porté sur « Quelles femmes entrepreneures pour un développement économique durable de la Côte d’Ivoire dans le cadre du programme de relance post-crise », assorties de résolutions claires, à savoir :
- la création d’un fonds de garantie ;
- une ligne de crédit pour les femmes ;
- la solidarité entre les femmes ;
- l’appui institutionnel et la volonté politique à la gente politique ;
- le réseautage ;
- l’acquisition d’une maison de la femme entrepreneure ;
- et la création d’un prix de l’entreprenariat féminin.
Le directeur général de la CGECI, Lakoun Ouattara, a également encouragé les femmes entrepreneures à se former. La formation a été assurée par Aicha Moulod, chef d’entreprise et Dr Binaté, docteur en économie, enseignante à l’université FHB, et chercheur au CIRES.
Jérémie junior