Amener les chercheurs ivoiriens, en général, et les lauréats du Psres, en particulier, à intégrer la valorisation dans la conduite de leurs projets de recherche et de fournir un guide pratique pour réaliser cet objectif, faire prendre conscience du potentiel de développement économique pouvant découler de leurs travaux de recherche, réaliser avec eux la démarche pouvant conduire à la commercialisation de leurs résultats de recherche». Tels sont les objectifs du 1er séminaire de formation sur la valorisation économique des résultats de la recherche initié par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, en partenariat avec le Programme d’appui stratégique à la recherche scientifique (Pasres) qui se tient du 11 au 15 février à l’Ecole normale supérieure (Ens).
Le thème choisi est : «La valorisation économique des résultats de la recherche». A l’ouverture, Pr Adama Diawara, conseiller représentant du président de la République, a fait savoir que la recherche doit pouvoir répondre aux besoins de développement. Dr Yaya Sangaré, secrétaire exécutif du Pasres, a indiqué que ce programme a financé, depuis 4 ans, plus d’une centaine de projets pour environ 1 milliard Fcfa. Pour lui, la recherche scientifique peut et doit jouer un rôle essentiel dans l’émergence de la Côte d’Ivoire. Ce qui a amené Théodore Hoégah du patronat ivoirien à insister sur la nécessité de consolider le partenariat entre les structures de recherche et le secteur privé susceptible d’être mutuellement bénéfique. La formation est dispensée par l’experte canadienne, Michèle Desrochers, de l’université de Sherbrooke.
SERGE AMANY
Le thème choisi est : «La valorisation économique des résultats de la recherche». A l’ouverture, Pr Adama Diawara, conseiller représentant du président de la République, a fait savoir que la recherche doit pouvoir répondre aux besoins de développement. Dr Yaya Sangaré, secrétaire exécutif du Pasres, a indiqué que ce programme a financé, depuis 4 ans, plus d’une centaine de projets pour environ 1 milliard Fcfa. Pour lui, la recherche scientifique peut et doit jouer un rôle essentiel dans l’émergence de la Côte d’Ivoire. Ce qui a amené Théodore Hoégah du patronat ivoirien à insister sur la nécessité de consolider le partenariat entre les structures de recherche et le secteur privé susceptible d’être mutuellement bénéfique. La formation est dispensée par l’experte canadienne, Michèle Desrochers, de l’université de Sherbrooke.
SERGE AMANY