Abidjan - Le ministre ivoirien de la Communication appelle les médias à accompagner, de façon déterminée, l'action du gouvernement en faveur de la professionnalisation du secteur de la communication qu'elle engage notamment à appuyer sur les projets en cours en vue du changement du statut actuel de l'Agence ivoirienne de presse(AIP), modifié, le 23 janvier, en Conseil des ministres, par le gouvernement.
Etablissement public national, à caractère administration(EPA), l'AIP est régie par le statut général de la Fonction publique, mais son fonctionnement est celui des organes de presse et agences de presse dans le monde, caractérisé par une présence sept jours la semaine et 365 jours/sur 365 l'année. Ses journalistes, chefs de bureaux régionaux et autres correspondants de presse pigistes, avec les contraintes et astreintes afférentes à leurs tâches, travaillent même au-delà de 22H, notamment l'agenda présidentiel est fort chargé par certaines activités de souveraineté et de diplomatie et de promotion de l'image de la Côte d'Ivoire.
A l'instar de l'AIP, d'autres chantiers sont en cours qui doivent renforcer le paysage audiovisuel, notamment la couverture nationale par la Radiodiffusion Télévision dispositif médiatique, de même le passage à la télévision numérique terrestre (Tnt), dont les études, œuvre d'un groupe de travail technique mis en place par le gouvernement ivoirien, sont déjà validées.
« Je vous exhorte à vous engager sur les chantiers entrepris par le chef de l’Etat, notamment la modification du statut de l’Agence ivoirienne de presse (AIP), la couverture nationale de la Radiodiffusion et télévision ivoirienne (RTI), la libéralisation du domaine télévisionel", a expressément invité sa conseillère technique, Josette Barry, l'ayant représentée à l'investiture du nouveau président exécutif de l’organisation des journalistes professionnels de Côte d’Ivoire (Ojpci), Gooré Bi Hué, chroniqueur économique au groupe Fraternité Matin.
Exhortant à la confraternité et à l'union qui participe de l'édification de la compréhension internationale et la paix, Mme Barry encourage la profession à œuvrer au retour des journalistes exilés, et prône, par les médias, une contribution efficace au pluralisme des opinions et à la liberté d'information. "Œuvrons ensemble à relever ou gagner le défi d’une presse professionnelle, en vue de l'émergence d'un Etat démocratique moderne, tel que voulu par le gouvernement et le peuple ivoiriens, a-t-elle, en substance, signifié.
(AIP)
en/nf
Etablissement public national, à caractère administration(EPA), l'AIP est régie par le statut général de la Fonction publique, mais son fonctionnement est celui des organes de presse et agences de presse dans le monde, caractérisé par une présence sept jours la semaine et 365 jours/sur 365 l'année. Ses journalistes, chefs de bureaux régionaux et autres correspondants de presse pigistes, avec les contraintes et astreintes afférentes à leurs tâches, travaillent même au-delà de 22H, notamment l'agenda présidentiel est fort chargé par certaines activités de souveraineté et de diplomatie et de promotion de l'image de la Côte d'Ivoire.
A l'instar de l'AIP, d'autres chantiers sont en cours qui doivent renforcer le paysage audiovisuel, notamment la couverture nationale par la Radiodiffusion Télévision dispositif médiatique, de même le passage à la télévision numérique terrestre (Tnt), dont les études, œuvre d'un groupe de travail technique mis en place par le gouvernement ivoirien, sont déjà validées.
« Je vous exhorte à vous engager sur les chantiers entrepris par le chef de l’Etat, notamment la modification du statut de l’Agence ivoirienne de presse (AIP), la couverture nationale de la Radiodiffusion et télévision ivoirienne (RTI), la libéralisation du domaine télévisionel", a expressément invité sa conseillère technique, Josette Barry, l'ayant représentée à l'investiture du nouveau président exécutif de l’organisation des journalistes professionnels de Côte d’Ivoire (Ojpci), Gooré Bi Hué, chroniqueur économique au groupe Fraternité Matin.
Exhortant à la confraternité et à l'union qui participe de l'édification de la compréhension internationale et la paix, Mme Barry encourage la profession à œuvrer au retour des journalistes exilés, et prône, par les médias, une contribution efficace au pluralisme des opinions et à la liberté d'information. "Œuvrons ensemble à relever ou gagner le défi d’une presse professionnelle, en vue de l'émergence d'un Etat démocratique moderne, tel que voulu par le gouvernement et le peuple ivoiriens, a-t-elle, en substance, signifié.
(AIP)
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