La Radiodiffusion Télévision Ivoirienne veut devenir le leader de l’audiovisuel public en Afrique de l’Ouest et l’un des premiers du continent à l’horizon 2020. Pour relever ce défi, sa direction générale, sous la houlette de M. Aka Sayé Lazare et la supervision du Conseil d’Administration, a élaboré un plan stratégique couvrant la période 2012-2015, définissant ses grands axes de développement. Hier matin, le Directeur général de la RTI, Aka Sayé Lazare et son adjoint M. Ahmadou Bakayoko, étaient justement face à la presse, dans les locaux de cette entreprise à Cocody. Il s’agissait pour eux de lever le voile sur les perspectives nouvelles de la RTI. D’entrée, M. Aka Sayé Lazare a annoncé que les différentes grilles de programmes subiront des réaménagements dans les prochains jours en vue de repositionner la RTI. “Nous démarrerons par la grille de programmes de RTI 1 et progressivement, les autres chaînes télé et radio suivront le mouvement», a-t-il précisé. Selon lui, la RTI va désormais s’atteler à donner une «identité propre à chaque édition du JT». «Sur RTI1 toujours, nous mettrons un accent particulier sur la ligne éditoriale des différentes éditions du JT et aussi sur leurs contenus.
L’importance accordée à l’institutionnel sera maintenue dans les JT et même renforcée. La récente scission de la Direction de l’Information avec la Direction des Reportages Institutionnels a été opérée justement pour permettre aux responsables de s’investir complètement dans l’encadrement des équipes rédactionnelles», a fait savoir le patron de la RTI, notant au passage que lui et son équipe ont sollicité le concours d’expertises extérieures pour partager in situ leurs expériences dans l’encadrement des équipes de production.
S’agissant de la couverture du territoire national, Aka Sayé Lazare a révélé que les travaux de réhabilitation et le rééquipement des centres émetteurs sont achevés pour l’Ouest du pays. En revanche, les démarches, à l’en croire, sont en cours pour les centres émetteurs de l’Est. L’objectif étant d’aboutir à l’accès total des populations aux programmes du média d’Etat. Pour l’heure, le taux de couverture de la RTI est estimé, selon lui, à 71% pour la radio et 68% pour la télévision. Le DG de la RTI a promis, par ailleurs, poursuivre ses efforts dans l’acquisition de moyens techniques et technologies appropriés pour ses chaînes. Bien entendu, il reste conscient que la RTI ne pourra relever le défi de la concurrence, sans un personnel aux conséquences renforcées. C’est pourquoi, a-t-il rappelé, «au cours de l’année 2012, avec l’appui du ministère de la Communication, 80 journalistes et techniciens de la RTI ont bénéficié des formations dispensées par l’Académie France 24».
Autre enjeu important pour la RTI, la gouvernance cohérente qui se traduit par une collaboration étroite d’une part entre le Comité de Management, dirigé par Aka Sayé Lazare, et le Conseil d’Administration, et d’autre part entre les Commissaires aux comptes et le Conseil d’Administration, à qui ils rendent régulièrement compte. Enfin, Aka Sayé Lazare a annoncé que la RTI fêtera cette année ses 50 ans. Et cela, sous l’onction du Gouvernement.
Y. Sangaré
L’importance accordée à l’institutionnel sera maintenue dans les JT et même renforcée. La récente scission de la Direction de l’Information avec la Direction des Reportages Institutionnels a été opérée justement pour permettre aux responsables de s’investir complètement dans l’encadrement des équipes rédactionnelles», a fait savoir le patron de la RTI, notant au passage que lui et son équipe ont sollicité le concours d’expertises extérieures pour partager in situ leurs expériences dans l’encadrement des équipes de production.
S’agissant de la couverture du territoire national, Aka Sayé Lazare a révélé que les travaux de réhabilitation et le rééquipement des centres émetteurs sont achevés pour l’Ouest du pays. En revanche, les démarches, à l’en croire, sont en cours pour les centres émetteurs de l’Est. L’objectif étant d’aboutir à l’accès total des populations aux programmes du média d’Etat. Pour l’heure, le taux de couverture de la RTI est estimé, selon lui, à 71% pour la radio et 68% pour la télévision. Le DG de la RTI a promis, par ailleurs, poursuivre ses efforts dans l’acquisition de moyens techniques et technologies appropriés pour ses chaînes. Bien entendu, il reste conscient que la RTI ne pourra relever le défi de la concurrence, sans un personnel aux conséquences renforcées. C’est pourquoi, a-t-il rappelé, «au cours de l’année 2012, avec l’appui du ministère de la Communication, 80 journalistes et techniciens de la RTI ont bénéficié des formations dispensées par l’Académie France 24».
Autre enjeu important pour la RTI, la gouvernance cohérente qui se traduit par une collaboration étroite d’une part entre le Comité de Management, dirigé par Aka Sayé Lazare, et le Conseil d’Administration, et d’autre part entre les Commissaires aux comptes et le Conseil d’Administration, à qui ils rendent régulièrement compte. Enfin, Aka Sayé Lazare a annoncé que la RTI fêtera cette année ses 50 ans. Et cela, sous l’onction du Gouvernement.
Y. Sangaré