L’Assemblée des Districts et Départements de Côte d’Ivoire (ADDCI) connait des dysfonctionnements tant au plan structurel que fonctionnel. L’organe suprême, l’Assemblée Générale, n’a jamais pu se tenir. Aucun Procès Verbal (PV) ou relevé de débats ne figure dans les archives de cette faitière. Au niveau des ressources financières, aucun document ne justifie le paiement des Droits d’adhésion des membres, hormis la cotisation de 10.000 FCFA par les adhérents présents à l’Assemblée constitutive. Ce sont entre autres, les résultats de l’étude-diagnostic du fonctionnement et des actions de l’Assemblée des Districts et Départements de Côte d’Ivoire (ADDCI) pour la période de 2003 à 2012. La restitution de ces résultats a fait l’objet d’un atelier qui s’est tenu du 28 février au 01 mars 2013 à Grand Bassam. Cette étude a été réalisée par la consultante, Aicha Moulod.
Elle a relevé qu’au plan structurel, seul le Bureau exécutif a correctement fonctionné. «Il ressort des études qu’une telle démarche est à encourager. Car elle a permis aux élus de traiter et solutionner des sujets sensibles et importants comme la préparation des textes législatifs et réglementaires. Avec la suppression des Départements et Districts au profit de 31 Régions et 197 communes, l’ADDCI veut se préparer à être la meilleure faitière des Régions. D’ailleurs, c’est ce qui justifie la tenue de ces deux jours de travaux. Le président de l’ADDCI, Jean Claude Kouassi s’est réjoui de la tenue de cette rencontre. Il a indiqué que sa structure a mené plusieurs activités allant dans le sens de la cohésion sociale et du bonheur des populations ivoiriennes. Soulignant que l’un des objectifs essentiels de ces assises est de proposer des mesures transitoires, en vue du fonctionnement de l’ADDCI. Ce, jusqu’à la mise en place des Régions et de la faitière des Régions. La Conseillère Programme du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), Mme Oka Madeleine Balima, a assuré du soutien de sa structure à accompagner la politique de décentralisation en Côte d’Ivoire. Quant au représentant du Directeur général de la Décentralisation, Gogonet Bi, il a relevé qu’il faut une décentralisation axée sur développement du bien- être des populations.
AC
Elle a relevé qu’au plan structurel, seul le Bureau exécutif a correctement fonctionné. «Il ressort des études qu’une telle démarche est à encourager. Car elle a permis aux élus de traiter et solutionner des sujets sensibles et importants comme la préparation des textes législatifs et réglementaires. Avec la suppression des Départements et Districts au profit de 31 Régions et 197 communes, l’ADDCI veut se préparer à être la meilleure faitière des Régions. D’ailleurs, c’est ce qui justifie la tenue de ces deux jours de travaux. Le président de l’ADDCI, Jean Claude Kouassi s’est réjoui de la tenue de cette rencontre. Il a indiqué que sa structure a mené plusieurs activités allant dans le sens de la cohésion sociale et du bonheur des populations ivoiriennes. Soulignant que l’un des objectifs essentiels de ces assises est de proposer des mesures transitoires, en vue du fonctionnement de l’ADDCI. Ce, jusqu’à la mise en place des Régions et de la faitière des Régions. La Conseillère Programme du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), Mme Oka Madeleine Balima, a assuré du soutien de sa structure à accompagner la politique de décentralisation en Côte d’Ivoire. Quant au représentant du Directeur général de la Décentralisation, Gogonet Bi, il a relevé qu’il faut une décentralisation axée sur développement du bien- être des populations.
AC