Korhogo - L’association "solidarité développement" a entrepris, samedi, à Korhogo, une campagne de sensibilisation contre les avortements clandestins en insistant sur les soins après avortement.
La campagne de sensibilisation s’est déroulée autour du thème "soins après avortement". Selon, le président de l’association, Traoré Abdramane, il ne s’agit pas de faire la promotion de l’avortement, mais cette sensibilisation vise à diminuer le taux de mortalité dû à l’avortement, diminuer le taux de stérilité que cela occasionne et amener la jeunesse korhogolaise à mener une vie sexuelle saine.
L’association "solidarité et développement" veut prévenir les complications consécutives aux avortements clandestins parce qu’ils se pratiquent au niveau local comme partout en Côte d’Ivoire avec des conséquences désastreuses. Des cas fréquents ont été constatés au niveau local, mais généralement les victimes ont gardé le secret en ont subi les conséquences.
Le représentant du maire, M. Traoré Katina et le représentant du préfet de région, M. Aka Serge, ont salué l’initiative de cette association, avant d’exhorter les femmes à se rendre dans les centres de santé et dans les structures spécialisées telles que l’association ivoirienne pour le bienêtre familiale (AIBEF) pour bénéficier des conseils nécessaires afin d’éviter les grossesses non désirées et les problèmes liés aux avortements clandestins.
"Les soins après avortement existent à l’AIBEF, mais nous faisons tout pour ne pas arriver là", a indiqué la sage femme de l’AIBEF, Mme Koné Adjaratou, qui conseille plutôt la planification des naissances et l’abstinence aux jeunes filles.
La campagne financée par l’ONG Search For Common Ground et l’Union Européenne, a été marquée par un sketch sur l’avortement clandestin et ces conséquences ainsi que les voies et moyens pour sauver les patientes.
La campagne de sensibilisation s’est déroulée autour du thème "soins après avortement". Selon, le président de l’association, Traoré Abdramane, il ne s’agit pas de faire la promotion de l’avortement, mais cette sensibilisation vise à diminuer le taux de mortalité dû à l’avortement, diminuer le taux de stérilité que cela occasionne et amener la jeunesse korhogolaise à mener une vie sexuelle saine.
L’association "solidarité et développement" veut prévenir les complications consécutives aux avortements clandestins parce qu’ils se pratiquent au niveau local comme partout en Côte d’Ivoire avec des conséquences désastreuses. Des cas fréquents ont été constatés au niveau local, mais généralement les victimes ont gardé le secret en ont subi les conséquences.
Le représentant du maire, M. Traoré Katina et le représentant du préfet de région, M. Aka Serge, ont salué l’initiative de cette association, avant d’exhorter les femmes à se rendre dans les centres de santé et dans les structures spécialisées telles que l’association ivoirienne pour le bienêtre familiale (AIBEF) pour bénéficier des conseils nécessaires afin d’éviter les grossesses non désirées et les problèmes liés aux avortements clandestins.
"Les soins après avortement existent à l’AIBEF, mais nous faisons tout pour ne pas arriver là", a indiqué la sage femme de l’AIBEF, Mme Koné Adjaratou, qui conseille plutôt la planification des naissances et l’abstinence aux jeunes filles.
La campagne financée par l’ONG Search For Common Ground et l’Union Européenne, a été marquée par un sketch sur l’avortement clandestin et ces conséquences ainsi que les voies et moyens pour sauver les patientes.