Bouaké -Le préfet de la région de Gbèkè, Konin Aka, a procédé à l’installation du comité local de suivi du Plan national de développement (PND) à l’occasion d’une cérémonie organisée au foyer Jeune Viateur de Bouaké, en présence du responsable technique du PND, Issouf Traoré, représentant le directeur général du Plan et de la Lutte contre la pauvreté.
Le comité local du district de la Vallée du Bandama du PND 2012-2013 est composé du corps préfectoral, des élus locaux, des directeurs généraux, des dignitaires religieux, des chefs coutumiers, des partenaires internationaux, associations de femmes, de jeunesse de la société civile et des représentants des médias.
Les membres, imprégnés de la feuille de route et du cadre institutionnel du PND, ont été mis en mission pour sa vulgarisation et le suivi de la réalisation des projets renfermant ledit programme.
Au niveau du district de la Vallée du Bandama, plusieurs projets de construction et de réhabilitation d’infrastructures dans le secteur agricole, dans le transport, en eau potable, dans le tourisme, le commerce, la justice, l’éducation- formation, la culture et les sports et loisirs sont prévus.
Le préfet de région, Konin Aka, représentant le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, a invité les membres du comité local à s’approprier le projet en créant des conditions pratiques nécessaires à l’exécution efficace du PND à travers des concertations régulières entre les différents acteurs.
Au corps préfectoral, Konin Aka a demandé a d'œuvrer à un environnement apaisé à l’ensemble des membres du comité local, en vue de faire du district de la Vallée du Bandama qui a tant souffert des effets de la crise soit l’un des pôles de développement économique et social les plus prospères de la Côte d’Ivoire.
D’un coût global de 11.076 milliards de FCFA, le PND est né de l'accroissement des disparités et de la dégradation des infrastructures économiques et sociales et de la volonté de l’Etat d’apporter une réponse appropriée aux problèmes de développement.
Son objectif est de construire, d’ici 2015, les fondements de la Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020 et de mettre le pays sur le sentier d’une croissance forte soutenue, créatrice d’emplois et respectueuse de l’environnement, et de fournir un cadre adéquat et de référence.
Pour repositionner la Côte d’Ivoire sur la scène internationale, ce plan va permettre à la population de vivre en harmonie dans une société sécurisée avec la création de richesse accrue, avec l’accès des plus vulnérables aux services sociaux de qualité.
Le comité local du district de la Vallée du Bandama du PND 2012-2013 est composé du corps préfectoral, des élus locaux, des directeurs généraux, des dignitaires religieux, des chefs coutumiers, des partenaires internationaux, associations de femmes, de jeunesse de la société civile et des représentants des médias.
Les membres, imprégnés de la feuille de route et du cadre institutionnel du PND, ont été mis en mission pour sa vulgarisation et le suivi de la réalisation des projets renfermant ledit programme.
Au niveau du district de la Vallée du Bandama, plusieurs projets de construction et de réhabilitation d’infrastructures dans le secteur agricole, dans le transport, en eau potable, dans le tourisme, le commerce, la justice, l’éducation- formation, la culture et les sports et loisirs sont prévus.
Le préfet de région, Konin Aka, représentant le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, a invité les membres du comité local à s’approprier le projet en créant des conditions pratiques nécessaires à l’exécution efficace du PND à travers des concertations régulières entre les différents acteurs.
Au corps préfectoral, Konin Aka a demandé a d'œuvrer à un environnement apaisé à l’ensemble des membres du comité local, en vue de faire du district de la Vallée du Bandama qui a tant souffert des effets de la crise soit l’un des pôles de développement économique et social les plus prospères de la Côte d’Ivoire.
D’un coût global de 11.076 milliards de FCFA, le PND est né de l'accroissement des disparités et de la dégradation des infrastructures économiques et sociales et de la volonté de l’Etat d’apporter une réponse appropriée aux problèmes de développement.
Son objectif est de construire, d’ici 2015, les fondements de la Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020 et de mettre le pays sur le sentier d’une croissance forte soutenue, créatrice d’emplois et respectueuse de l’environnement, et de fournir un cadre adéquat et de référence.
Pour repositionner la Côte d’Ivoire sur la scène internationale, ce plan va permettre à la population de vivre en harmonie dans une société sécurisée avec la création de richesse accrue, avec l’accès des plus vulnérables aux services sociaux de qualité.
