Jour j-3 pour les organisateurs de la première édition des journées de prières en Côte d’Ivoire. Au niveau du comité d’organisation on met les bouchées doubles. Hier, ce comité présidé par l’apôtre Kokou Bouabré Janvier a eu une réunion qui s’est déroulée à l’hôtel du district, au Plateau, en présence de Séka Nguia Lazare, directeur de cabinet du gouverneur Robert Beugré Mambé. L’Office National de la Protection Civile(ONPC), le Groupement des Sapeurs Pompiers Militaire (GSPM), la Garde Républicaine, la Préfecture de police d’Abidjan et le SAMU sont entre autres les structures qui ont participé à cette rencontre. D’entrée, le directeur de cabinet du gouverneur a tenu à faire des précisions. « Cette journée de prière est une initiative de l’ensemble des chefs religieux des différentes confessions religieuses.
Ça sera une journée de repentance, de prière afin que la paix s’installe définitivement en Côte d’Ivoire. Bien entendu, le district soutien l’évènement. Le district apportera son apport en matière d’encadrement aux organisateurs », a indiqué Séka Nguia Lazare. La réunion a surtout insisté sur les dispositions pratiques à prendre le jour de l’évènement qui a désormais une envergure nationale. Selon le président du comité d’organisation, le palais de la culture d’Abidjan qui abritera l’évènement accueillera entre 12 et 15 000 personnes. Le capitaine Coulibaly Idriss, chef des Operations au GSPM, a conseillé aux organisateurs de ‘‘prendre toutes les dispositions afin qu’il y ait suffisamment de véhicules pour transporter tout le monde, une fois la cérémonie terminée’’. Car dira t-il, la cérémonie elle, ne causera pas de problème. Mais à la fin, tous les fidèles voudraient avoir accès aux véhicules et il pourrait y avoir des bousculades. Il en veut pour preuve, le drame de la Saint Sylvestre, à la fin du feu d’artifice. Le comité d’organisation a dit prendre acte de cette suggestion. Toutefois, tous les participants ont convenu de saisir en personne, le patron de la préfecture de police, premier responsable de la sécurisation des manifestations de grande envergure qui saura s’occuper de l’aspect sécuritaire.
Dao Maïmouna
Ça sera une journée de repentance, de prière afin que la paix s’installe définitivement en Côte d’Ivoire. Bien entendu, le district soutien l’évènement. Le district apportera son apport en matière d’encadrement aux organisateurs », a indiqué Séka Nguia Lazare. La réunion a surtout insisté sur les dispositions pratiques à prendre le jour de l’évènement qui a désormais une envergure nationale. Selon le président du comité d’organisation, le palais de la culture d’Abidjan qui abritera l’évènement accueillera entre 12 et 15 000 personnes. Le capitaine Coulibaly Idriss, chef des Operations au GSPM, a conseillé aux organisateurs de ‘‘prendre toutes les dispositions afin qu’il y ait suffisamment de véhicules pour transporter tout le monde, une fois la cérémonie terminée’’. Car dira t-il, la cérémonie elle, ne causera pas de problème. Mais à la fin, tous les fidèles voudraient avoir accès aux véhicules et il pourrait y avoir des bousculades. Il en veut pour preuve, le drame de la Saint Sylvestre, à la fin du feu d’artifice. Le comité d’organisation a dit prendre acte de cette suggestion. Toutefois, tous les participants ont convenu de saisir en personne, le patron de la préfecture de police, premier responsable de la sécurisation des manifestations de grande envergure qui saura s’occuper de l’aspect sécuritaire.
Dao Maïmouna