Soro Mamadou, anciennement secrétaire général du Syndicat national des enseignants du second degré de Côte d’Ivoire (Synesci), secrétaire général de la centrale Humanisme, vient de déclarer officiellement sa candidature au poste de président du conseil d’administration de la Mugefci. C’était au cours d’une conférence de presse conjointement animée par lui et Mesmin Komoé pressenti au poste de vice-président du même conseil d’administration. Le groupe de mutualistes cotisants, dénommé Solidarité et Espoir constitué de mutualistes provenant des 8 collèges électoraux dont sont membres ces deux leaders syndicaux, s’est, d’entrée, réjoui du travail abattu par le comité provisoire de gestion mis en place par l’Etat ivoirien. Et salue la reforme telle qu’initiée par le comité provisoire de gestion. «le comité de gestion projette d’organiser des élections dans les 31 régions et deux districts afin que tout mutualiste qui le désire, puisse exercer son droit en désignant directement ses représentants régionaux pour la constitution de l’assemblée générale qui est un organe de décision.
C’est des avancées démocratiques», s’est félicité le groupe Solidarité et Espoir. «Parce que, argumentent Soro et ses colistiers, avant la dissolution des organes, l’Ag était composée de représentants de 77 syndicats cooptés par le conseil d’administration qui, lui-même, n’existait que par la volonté de trois individus en l’occurrence les secrétaires généraux de 3 centrales que sont l’Ugtci, Dignité et Fesaci. Avec cette reforme, la possibilité est donnée à tout mutualiste de choisir les délégués pour l’Assemblée qui devient ainsi l’émanation des 272.935 mutualistes repartis sur l’ensemble du territoire national». Avec cette reforme, il va s’en dire que l’assemblée générale sera donc l’expression de la volonté affirmée des mutualistes. Selon Mesmin Komoé, avec la reforme de la Mugefci, «le conseil d’administration qui comptait 25 membres passera à 10 ; ce qui va réduire considérablement les frais généraux ou charges de fonctionnement». Le groupe Solidarité Espoir a porté son choix sur Soro Mamadou et Mesmin Komoé dont la probité et le sérieux sont incontestables en matière de lutte pour la sauvegarde et la promotion des intérêts des travailleurs. Le groupe veut faire de la Mugefci une structure efficace au service exclusif des mutualistes. C’est pourquoi, il s’engage résolument dans les élections à venir avec la ferme conviction que la gestion transparente et démocratique est la clé d’un service public de qualité, surtout en matière de santé. Soro Mamadou et Mesmin Komoé appellent l’ensemble des mutualistes des 8 collèges électoraux à rejoindre le groupe Solidarité Espoir pour «mener le bon combat, le vrai combat pour la santé des fonctionnaires et agents de l’Etat». Et de lancer aux autres organisations syndicales, «si tant est qu’ils estiment être suffisamment représentatifs, ils ne devraient pas avoir peur de ces élections».
Jean Prisca
C’est des avancées démocratiques», s’est félicité le groupe Solidarité et Espoir. «Parce que, argumentent Soro et ses colistiers, avant la dissolution des organes, l’Ag était composée de représentants de 77 syndicats cooptés par le conseil d’administration qui, lui-même, n’existait que par la volonté de trois individus en l’occurrence les secrétaires généraux de 3 centrales que sont l’Ugtci, Dignité et Fesaci. Avec cette reforme, la possibilité est donnée à tout mutualiste de choisir les délégués pour l’Assemblée qui devient ainsi l’émanation des 272.935 mutualistes repartis sur l’ensemble du territoire national». Avec cette reforme, il va s’en dire que l’assemblée générale sera donc l’expression de la volonté affirmée des mutualistes. Selon Mesmin Komoé, avec la reforme de la Mugefci, «le conseil d’administration qui comptait 25 membres passera à 10 ; ce qui va réduire considérablement les frais généraux ou charges de fonctionnement». Le groupe Solidarité Espoir a porté son choix sur Soro Mamadou et Mesmin Komoé dont la probité et le sérieux sont incontestables en matière de lutte pour la sauvegarde et la promotion des intérêts des travailleurs. Le groupe veut faire de la Mugefci une structure efficace au service exclusif des mutualistes. C’est pourquoi, il s’engage résolument dans les élections à venir avec la ferme conviction que la gestion transparente et démocratique est la clé d’un service public de qualité, surtout en matière de santé. Soro Mamadou et Mesmin Komoé appellent l’ensemble des mutualistes des 8 collèges électoraux à rejoindre le groupe Solidarité Espoir pour «mener le bon combat, le vrai combat pour la santé des fonctionnaires et agents de l’Etat». Et de lancer aux autres organisations syndicales, «si tant est qu’ils estiment être suffisamment représentatifs, ils ne devraient pas avoir peur de ces élections».
Jean Prisca