Le ministre de la Promotion de la jeunesse, des Sports et Loisirs, Alain Lobognon, a procédé, le jeudi 21 mars 2013, à l’Ecole nationale d’administration, au lancement officiel du Projet d’Appui à l’Automatisation des Organisations de Jeunesse (PAAOJ).
Ce projet, dont le thème est : « Quelle jeunesse pour une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020 ? », a été mené par le Centre de recherche et de formation sur l’Etat en Afrique (CREA) en collaboration avec le Bureau pays du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). Son objectif, participer à l’émergence d’une jeunesse nouvelle. Pour le ministre Alain Lobognon, l’éducation de la jeunesse aux valeurs citoyennes étant une nécessité, voire un impératif pour la Côte d’Ivoire, son ministère entend faire du jeune ivoirien, un Citoyen responsable, engagé et accompli au triple plan civique, moral et professionnel. Voyant en cette initiative une aubaine, il a invité les jeunes « à saisir effectivement, sincèrement et efficacement cette opportunité de renforcement de leurs capacités en vue d’acquérir les compétences indispensables à la bonne gestion de leur futur Conseil National de jeunesse ». Puis de repréciser le bien fondé du Conseil national de la jeunesse et du Fonds national de la jeunesse. « La mise en place de ces deux outils sera bientôt renforcée par l'institution des Journées de Dialogue avec la Jeunesse pour réduire le fossé du dialogue et de la communication entre les Gouvernants et les mouvements de jeunesse de Côte d'Ivoire », a-t-il expliqué. Justifiant l’appui financier de sa structure, Luc Grégoire, directeur pays du PNUD, a expliqué qu’il y a 65% des jeunes à travers le globe, confrontés à des difficultés d’emplois et d’activités génératrices de revenus. Coordonnateur du CRAO, Coulibaly Tiorna N’Golodin, a donné les déclinaisons de ce projet. « Il y a d’abord l’étude diagnostic. Avant de travailler avec les organisations de jeunesses, il est bon de comprendre leur environnement. C’est en cela que nous avons mis en place un plan méthodologique. Cette étude comprend quatre étapes. La 1ère, la collecte des données. La 2nde, le traitement des donnés, la 3ème, la sélection des organisations de jeunesses et enfin, l’atelier de réflexion », a-t-il dit. Poursuivant, il a expliqué que la deuxième phase du projet est le renforcement des capacités des organisations de jeunesse, la 3ème étape, l’amélioration des processus de communication entre les jeunes eux-mêmes et entre les jeunes et les autorités publiques d’une part et les partenaires au développement d’autre part, et la dernière étape est la réalisation d’actions citoyennes. Qui est la valeur ajoutée de ce projet. Les travaux en atelier, prennent fin aujourd’hui.
A.Dedi
Ce projet, dont le thème est : « Quelle jeunesse pour une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020 ? », a été mené par le Centre de recherche et de formation sur l’Etat en Afrique (CREA) en collaboration avec le Bureau pays du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). Son objectif, participer à l’émergence d’une jeunesse nouvelle. Pour le ministre Alain Lobognon, l’éducation de la jeunesse aux valeurs citoyennes étant une nécessité, voire un impératif pour la Côte d’Ivoire, son ministère entend faire du jeune ivoirien, un Citoyen responsable, engagé et accompli au triple plan civique, moral et professionnel. Voyant en cette initiative une aubaine, il a invité les jeunes « à saisir effectivement, sincèrement et efficacement cette opportunité de renforcement de leurs capacités en vue d’acquérir les compétences indispensables à la bonne gestion de leur futur Conseil National de jeunesse ». Puis de repréciser le bien fondé du Conseil national de la jeunesse et du Fonds national de la jeunesse. « La mise en place de ces deux outils sera bientôt renforcée par l'institution des Journées de Dialogue avec la Jeunesse pour réduire le fossé du dialogue et de la communication entre les Gouvernants et les mouvements de jeunesse de Côte d'Ivoire », a-t-il expliqué. Justifiant l’appui financier de sa structure, Luc Grégoire, directeur pays du PNUD, a expliqué qu’il y a 65% des jeunes à travers le globe, confrontés à des difficultés d’emplois et d’activités génératrices de revenus. Coordonnateur du CRAO, Coulibaly Tiorna N’Golodin, a donné les déclinaisons de ce projet. « Il y a d’abord l’étude diagnostic. Avant de travailler avec les organisations de jeunesses, il est bon de comprendre leur environnement. C’est en cela que nous avons mis en place un plan méthodologique. Cette étude comprend quatre étapes. La 1ère, la collecte des données. La 2nde, le traitement des donnés, la 3ème, la sélection des organisations de jeunesses et enfin, l’atelier de réflexion », a-t-il dit. Poursuivant, il a expliqué que la deuxième phase du projet est le renforcement des capacités des organisations de jeunesse, la 3ème étape, l’amélioration des processus de communication entre les jeunes eux-mêmes et entre les jeunes et les autorités publiques d’une part et les partenaires au développement d’autre part, et la dernière étape est la réalisation d’actions citoyennes. Qui est la valeur ajoutée de ce projet. Les travaux en atelier, prennent fin aujourd’hui.
A.Dedi
