Comment peut-on expliquer votre absence sur le marché ?
Est-il nécessaire de revenir sur les raisons de notre absence sur le marché national. Je crois que l’essentiel pour nous est le retour, après cinq mois. C’est ce qui intéresse le plus nos lecteurs.
Quel est le sentiment qui vous anime donc ?
C’est un sentiment de joie. Et nous remercions tous nos lecteurs ainsi que tous ceux qui ont prié pour que notre retour soit une réalité. Nous allons poursuivre la lutte où nous l’avons laissée. Nous continuerons de nous battre.
Votre ligne éditoriale ne change pas...
Absolument pas. Nous restons les mêmes. Nous demeurons un moyen de critique. Nous ne sommes pas là pour faire plaisir au régime Ouattara.
Mais est-ce qu’il y a des innovations ?
Il n’y a pas une grande innovation. Cependant des nouvelles rubriques apparaissent. Notamment « La marre aux crocodiles », « Allo l’Abbé »… Notre objectif est de répondre aux besoins du lecteur, aux préoccupations de la population. Désormais, un prêtre est à leur disposition pour répondre à leurs préoccupations. Sinon, pratiquement, les rubriques d’antan sont reconduites.
Avec la même équipe rédactionnelle ?
Oui. L’équipe rédactionnelle n’a pas changé, à l’exception de deux personnes. Nos lecteurs auront droit aux écrits et aux analyses de leurs rédacteurs habituels. Je leur présente mes excuses pour cette absence et leur dire que nous sommes de retour, malgré quelques difficultés encore en suspens. Nous allons continuer de nous battre avec l’appui des lecteurs qui doivent continuer de nous faire confiance. L’idéal pour nous est de jouer notre rôle dans la promotion de la liberté d’opinion et d’expression en Côte d’Ivoire. Nous invitons les partenaires idéologiques à comprendre la nécessité des espaces de liberté. La liberté d’opinion et d’association est inexistante. Il faut que les journaux disposent de moyens adéquats pour faire la promotion de ces droits. Puisque Alassane Ouattara n’est pas là pour faire la promotion de la liberté d’expression, d’opinion. Les ivoiriens doivent comprendre que le journal n’est pas un business. C’est plutôt un moyen qui concourt à la promotion de la liberté d’opinion.
Propos recueillis par Odette Latey
Est-il nécessaire de revenir sur les raisons de notre absence sur le marché national. Je crois que l’essentiel pour nous est le retour, après cinq mois. C’est ce qui intéresse le plus nos lecteurs.
Quel est le sentiment qui vous anime donc ?
C’est un sentiment de joie. Et nous remercions tous nos lecteurs ainsi que tous ceux qui ont prié pour que notre retour soit une réalité. Nous allons poursuivre la lutte où nous l’avons laissée. Nous continuerons de nous battre.
Votre ligne éditoriale ne change pas...
Absolument pas. Nous restons les mêmes. Nous demeurons un moyen de critique. Nous ne sommes pas là pour faire plaisir au régime Ouattara.
Mais est-ce qu’il y a des innovations ?
Il n’y a pas une grande innovation. Cependant des nouvelles rubriques apparaissent. Notamment « La marre aux crocodiles », « Allo l’Abbé »… Notre objectif est de répondre aux besoins du lecteur, aux préoccupations de la population. Désormais, un prêtre est à leur disposition pour répondre à leurs préoccupations. Sinon, pratiquement, les rubriques d’antan sont reconduites.
Avec la même équipe rédactionnelle ?
Oui. L’équipe rédactionnelle n’a pas changé, à l’exception de deux personnes. Nos lecteurs auront droit aux écrits et aux analyses de leurs rédacteurs habituels. Je leur présente mes excuses pour cette absence et leur dire que nous sommes de retour, malgré quelques difficultés encore en suspens. Nous allons continuer de nous battre avec l’appui des lecteurs qui doivent continuer de nous faire confiance. L’idéal pour nous est de jouer notre rôle dans la promotion de la liberté d’opinion et d’expression en Côte d’Ivoire. Nous invitons les partenaires idéologiques à comprendre la nécessité des espaces de liberté. La liberté d’opinion et d’association est inexistante. Il faut que les journaux disposent de moyens adéquats pour faire la promotion de ces droits. Puisque Alassane Ouattara n’est pas là pour faire la promotion de la liberté d’expression, d’opinion. Les ivoiriens doivent comprendre que le journal n’est pas un business. C’est plutôt un moyen qui concourt à la promotion de la liberté d’opinion.
Propos recueillis par Odette Latey