Abidjan – Le coordonateur national de la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI), faîtière d'ONG et d'associations de la société civile, Dr Christophe Kouamé s’est élevé, vendredi, contre les tentatives de musellement de la CSCI.
« C’est ce refus de musèlement qui nous a conduit à tenir cette convention qui est pour nous un espace démocratique pour adresser les questions de gouvernance interne sur la vie de notre institution », a déclaré le coordonateur national de la CSCI dont le siège est occupé par un groupe dissident de la faîtière depuis le 8 avril.
A l’occasion de la convention générale ordinaire de cette organisation, Dr Kouamé a expliqué que malgré toutes les démarches entreprises auprès des autorités policières, le siège reste occupé sans mandat et en dépit de toutes les décisions de justice.
« C’est la crédibilité de la convention, c’est l’indépendance de la convention, c’est l’impartialité de la convention qui en montant en audience pose problème à certaines personnes de l’administration publique », a-t-il relevé, assurant que l’opinion nationale et internationale sait que son mandat connaît des perturbations.
La convention générale ordinaire permet de faire le point des activités de la faîtière, de présenter le rapport moral et financier de la CSCI après huit mois de fonctionnement et d’annoncer les perspectives à venir.
Abordant le thème de la convention générale ordinaire, « Le dialogue social, pilier de l’émergence », Dr Kouamé a fait savoir que sans un environnement de paix, l’objectif de l’émergence ne peut être atteint. « Il s’avère nécessaire et indispensable d’ouvrir le chantier du dialogue social cadre d’anticipation, d’échange, de résolution des problèmes mais aussi d’implication des acteurs sociaux, au processus de prise de décision sur les questions de développement », a insisté le coordonateur de la CSCI.
Pour lui, « le chantier du dialogue social doit trouver rapidement un cadre permanent pour que la Côte d’Ivoire unie et réconciliée puisse allègrement aller à l’horizon 2020 ».
(AIP)
kkf/cmas
« C’est ce refus de musèlement qui nous a conduit à tenir cette convention qui est pour nous un espace démocratique pour adresser les questions de gouvernance interne sur la vie de notre institution », a déclaré le coordonateur national de la CSCI dont le siège est occupé par un groupe dissident de la faîtière depuis le 8 avril.
A l’occasion de la convention générale ordinaire de cette organisation, Dr Kouamé a expliqué que malgré toutes les démarches entreprises auprès des autorités policières, le siège reste occupé sans mandat et en dépit de toutes les décisions de justice.
« C’est la crédibilité de la convention, c’est l’indépendance de la convention, c’est l’impartialité de la convention qui en montant en audience pose problème à certaines personnes de l’administration publique », a-t-il relevé, assurant que l’opinion nationale et internationale sait que son mandat connaît des perturbations.
La convention générale ordinaire permet de faire le point des activités de la faîtière, de présenter le rapport moral et financier de la CSCI après huit mois de fonctionnement et d’annoncer les perspectives à venir.
Abordant le thème de la convention générale ordinaire, « Le dialogue social, pilier de l’émergence », Dr Kouamé a fait savoir que sans un environnement de paix, l’objectif de l’émergence ne peut être atteint. « Il s’avère nécessaire et indispensable d’ouvrir le chantier du dialogue social cadre d’anticipation, d’échange, de résolution des problèmes mais aussi d’implication des acteurs sociaux, au processus de prise de décision sur les questions de développement », a insisté le coordonateur de la CSCI.
Pour lui, « le chantier du dialogue social doit trouver rapidement un cadre permanent pour que la Côte d’Ivoire unie et réconciliée puisse allègrement aller à l’horizon 2020 ».
(AIP)
kkf/cmas