Daloa - La recrudescence des litiges fonciers, et particulièrement les nombreux cas d’expropriation de plantations signalés çà et là dans le milieu rural, ont été dénoncés, samedi, par la la coalition pour la justice et le pardon des victimes de guerre en Côte d’Ivoire (CJPVG-CI), à l’issue d’une assemblée générale extraordinaire, portant sur la révision de ses statut et règlement intérieur.
A l’issue des travaux, essentiellement basés sur l’harmonisation du travail des présidents régionaux par rapport à l’identification des victimes des différentes crises et le processus de réconciliation, le président national de cette organisation de victimes de guerre, Edoukou Claver, a appelé l’attention des autorités compétentes sur les abus et autres expropriations de biens fonciers en cours, et dont sont victimes nombre de paysans de la région.
Il a indiqué que "le phénomène a atteint des proportions inquiétantes, et il met en confrontation, souvent, population autochtone et allochtone, ainsi qu'allogène en ressortissant de l'espace Cedeao. ‘’Alertés (donc) par des victimes spoliées de leurs plantations, sans autres forme de procès, nous pensons qu’il faut avoir le courage de dénoncer cela, pour permettre au gouvernement de prendre ses responsabilités, afin de ne pas faire obstacle au processus de réconciliation nationale'', a-t-il prévenu.
A l’issue des travaux, essentiellement basés sur l’harmonisation du travail des présidents régionaux par rapport à l’identification des victimes des différentes crises et le processus de réconciliation, le président national de cette organisation de victimes de guerre, Edoukou Claver, a appelé l’attention des autorités compétentes sur les abus et autres expropriations de biens fonciers en cours, et dont sont victimes nombre de paysans de la région.
Il a indiqué que "le phénomène a atteint des proportions inquiétantes, et il met en confrontation, souvent, population autochtone et allochtone, ainsi qu'allogène en ressortissant de l'espace Cedeao. ‘’Alertés (donc) par des victimes spoliées de leurs plantations, sans autres forme de procès, nous pensons qu’il faut avoir le courage de dénoncer cela, pour permettre au gouvernement de prendre ses responsabilités, afin de ne pas faire obstacle au processus de réconciliation nationale'', a-t-il prévenu.