Bondoukou - Les travailleurs de la région du Gontougo ont présenté, mercredi, à l’occasion de la fête du travail, leurs préoccupations en vue de l’amélioration de leurs conditions de vie.
Le secrétaire général de la section UGTCI (Union générale des travailleurs de Côte d'Ivoire) de Bondoukou, Kossonou Richard, a souligné que bon nombre de travailleurs du secteur privé de la région du Gontougo ne jouissent pas de leurs droits. Il s’agit notamment du droit à la déclaration à la CNPS, à un salaire homologué, à un congé annuel ainsi qu’à l’augmentation et à l’avancement régulier.
Aussi, a-t-il souhaité le déblocage des salaires des fonctionnaires afin de leur permettre de vivre décemment. Depuis deux décennies, les salaires des fonctionnaires ivoiriens n'ont pas évolué, rappelle-t-on.
Le secrétaire général de la section UGTCI de Bondoukou n’a pas manqué de relever quelques problèmes auxquels les travailleurs sont confrontés, de même que la population. Ces problèmes sont, entre autres, les braquages de véhicules et les vols de nuit avec effraction, le manque de chirurgien, de sages-femmes au centre hospitalier régional (CHR) de Bondoukou, le manque d’eau potable et les coupures intempestives d’électricité.
Le représentant de la centrale syndicale Humanisme, Traoré Abdoulaye a, pour sa part, dénoncé la cherté de la vie et souhaité que les décisions prises au forum social du 13 août 2012 soient appliquées.
"Toutes ces préoccupations sont légitimes. Nous allons les porter à la connaissance de l’Etat (…), gardez espoir", a rassuré le secrétaire général de la préfecture de Bondoukou, Gnangbi Victor, représentant le préfet de région.
M. Gnangbi a saisi cette occasion pour appeler les travailleurs au respect des règles régissant la grève. "On a droit à la grève, mais la grève a ses règles. Malheureusement, nous les piétinons. Que chacun sache ses droits pour qu’on aille de l’avant", a-t-il souhaité. Il a également exhorté les travailleurs au changement de mentalité pour l’émergence de la Côte d’Ivoire en 2020.
Le défilé et le dépôt de fleurs au "monument aux morts" ont meublé la fête du travail à Bondoukou.
Le secrétaire général de la section UGTCI (Union générale des travailleurs de Côte d'Ivoire) de Bondoukou, Kossonou Richard, a souligné que bon nombre de travailleurs du secteur privé de la région du Gontougo ne jouissent pas de leurs droits. Il s’agit notamment du droit à la déclaration à la CNPS, à un salaire homologué, à un congé annuel ainsi qu’à l’augmentation et à l’avancement régulier.
Aussi, a-t-il souhaité le déblocage des salaires des fonctionnaires afin de leur permettre de vivre décemment. Depuis deux décennies, les salaires des fonctionnaires ivoiriens n'ont pas évolué, rappelle-t-on.
Le secrétaire général de la section UGTCI de Bondoukou n’a pas manqué de relever quelques problèmes auxquels les travailleurs sont confrontés, de même que la population. Ces problèmes sont, entre autres, les braquages de véhicules et les vols de nuit avec effraction, le manque de chirurgien, de sages-femmes au centre hospitalier régional (CHR) de Bondoukou, le manque d’eau potable et les coupures intempestives d’électricité.
Le représentant de la centrale syndicale Humanisme, Traoré Abdoulaye a, pour sa part, dénoncé la cherté de la vie et souhaité que les décisions prises au forum social du 13 août 2012 soient appliquées.
"Toutes ces préoccupations sont légitimes. Nous allons les porter à la connaissance de l’Etat (…), gardez espoir", a rassuré le secrétaire général de la préfecture de Bondoukou, Gnangbi Victor, représentant le préfet de région.
M. Gnangbi a saisi cette occasion pour appeler les travailleurs au respect des règles régissant la grève. "On a droit à la grève, mais la grève a ses règles. Malheureusement, nous les piétinons. Que chacun sache ses droits pour qu’on aille de l’avant", a-t-il souhaité. Il a également exhorté les travailleurs au changement de mentalité pour l’émergence de la Côte d’Ivoire en 2020.
Le défilé et le dépôt de fleurs au "monument aux morts" ont meublé la fête du travail à Bondoukou.