(Nairobi) – Au cours des deux années qui se sont écoulées depuis l’investiture du président Alassane Ouattara le 21 mai 2011, le gouvernement de Côte d’Ivoire a fait peu de progrès dans le traitement des causes profondes des violences politico-militaires qui ont ébranlé le pays pendant une décennie, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Ces problèmes menacent la stabilité à long terme du pays, en dépit de sa forte reprise économique, a ajouté l’organisation.
Dans l’année à venir, le gouvernement ivoirien devrait s’occuper en priorité de ces questions, notamment du fait que les forces de sécurité n’ont toujours pas été amenées à rendre des comptes, de la nécessité de mener à bien un désarmement et une réforme du secteur de la sécurité,... suite de l'article sur
Dans l’année à venir, le gouvernement ivoirien devrait s’occuper en priorité de ces questions, notamment du fait que les forces de sécurité n’ont toujours pas été amenées à rendre des comptes, de la nécessité de mener à bien un désarmement et une réforme du secteur de la sécurité,... suite de l'article sur