Abidjan (Côte d’Ivoire) - Les deux ans de pouvoir du Président Alassane Ouattara et le verdict attendu de la Cour pénale internationale (CPI) sur le cas Laurent Gbagbo ainsi que l’arrestation du Chef milicien, Amadé Ouérémi, sont largement commentés par la presse ivoirienne, dans sa parution de mercredi.
‘'21 mai 2011-21 mai 2013/ Alassane Ouattara, deux ans seulement mais quel bilan !'', s'exclame en ‘'Une'', Le Patriote, quotidien très proche du Rassemblement des républicains (RDR, au pouvoir).
Pour ce journal, le Chef de l'Etat, Alassane Ouattara n'a obtenu que des victoires dans les secteurs de l'économie, de l'éducation, de la santé, de la sécurité, des infrastructures et de la réconciliation depuis son investiture à la tête de la Côte d'Ivoire.
La Matinale, autre journal proche du RDR met l'accent sur les acquis du chemin de la reconstruction, quand le Démocrate note un bilan ‘'satisfaisant'' du Président Alassane Ouattara.
Deux ans après l'investiture de Ouattara, le Ministre d'Etat, Ministre de l'intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko rassure les opérateurs économiques sur ‘'l'indice de sécurité'', titre L'Intelligent d'Abidjan.
S'agissant du cas Laurent Gbagbo, Miaka Ourétto, le Président intérimaire du Front populaire ivoirien (FPI) parle à la Une de Notre Voie depuis Bondoukou :''On attend le grand retour de Gbagbo''.
Ce journal officiel du FPI estime que nous sommes dans une semaine ‘'cruciale'', car explique-t-il, la CPI doit donner le 28 mai prochain, son verdict sur la confirmation des charges ou non, contre M. Gbagbo.
L'Inter renseigne de son côté que le dossier de transfèrement de Mme Simone Ehivet Gbagbo a été remis sur la table. Le journal dit connaitre ce qui se prépare sur le cas Gbagbo.
Histoire des présidents africains ‘'insoumis'', écrit le Temps en présentant ‘'les raisons de l'acharnement contre Laurent Gbagbo''.
‘'Verdict du procès de Gbagbo, la semaine décisive'', renchérit le Quotidien d'Abidjan au moment où, Miaka Ouretto révèle comment le FPI va assumer sa part dans la libération e Gbagbo. Appelant ses militants à rester débout, le Président intérimaire du FPI, réclame un ‘'débat national''.
L'arrestation samedi dernier à l'Ouest de la Côte d'Ivoire, du Chef milicien, Amadé Ouérémi, continue d'alimenter l'actualité ivoirienne.
‘'Après l'arrestation d'Amadé Ouérémi, Hamed Bakayoko rasure les populations'', affiche Le Patriote, là où Notre Voie pense que pour les violations des droits de l'Homme, Human Rights Watch contredit le régime Ouattara.
Soir Info, brandit à sa Une les ‘'gros enjeux'' de cette arrestation pour le régime, alors que L'Inter croit savoir les trois péchés d'Amadé Ouérémi. ‘' Human Rights Watch réclame une enquête crédible'', ajoute ce quotidien.
Le Temps, quotidien proche de Laurent Gbagbo, qualifie de ‘'diversion'' cette arrestation. Pour ce journal, Amadé Ouérémi est un bouc émissaire pour protéger les ex-Chefs de guerre.
‘'Mais où sont passés les 500 combattants d'Amadé Ouérémi ?'' s'inquiète dans les colonnes de L'Intelligent d'Abidjan, Marie Odette Lorougnon, la Présidente des femmes du FPI.
‘'Amadé rejoint Blé Goudé. Tout sur leur lieu de détention'', écrit Dernière heure infos. LG Infos révèle de son côté qu'il y a eu des fusillades entre les hommes d'Amadé et les FRCI après l'arrestation d'Amadé Ouérémi le samedi dernier.
‘'Amadé Ouérémi était avec les forces pro-Ouattara'', affirme Matts Wells de Human Rights Watch dans les colonnes du journal Aujourd'hui. Malagré l'arrestation de leur Chef, ajoute ce quotidien, l'Ouest est toujours aux mains des hommes d'Amadé Ouérémi.
LS/APA
‘'21 mai 2011-21 mai 2013/ Alassane Ouattara, deux ans seulement mais quel bilan !'', s'exclame en ‘'Une'', Le Patriote, quotidien très proche du Rassemblement des républicains (RDR, au pouvoir).
Pour ce journal, le Chef de l'Etat, Alassane Ouattara n'a obtenu que des victoires dans les secteurs de l'économie, de l'éducation, de la santé, de la sécurité, des infrastructures et de la réconciliation depuis son investiture à la tête de la Côte d'Ivoire.
La Matinale, autre journal proche du RDR met l'accent sur les acquis du chemin de la reconstruction, quand le Démocrate note un bilan ‘'satisfaisant'' du Président Alassane Ouattara.
Deux ans après l'investiture de Ouattara, le Ministre d'Etat, Ministre de l'intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko rassure les opérateurs économiques sur ‘'l'indice de sécurité'', titre L'Intelligent d'Abidjan.
S'agissant du cas Laurent Gbagbo, Miaka Ourétto, le Président intérimaire du Front populaire ivoirien (FPI) parle à la Une de Notre Voie depuis Bondoukou :''On attend le grand retour de Gbagbo''.
Ce journal officiel du FPI estime que nous sommes dans une semaine ‘'cruciale'', car explique-t-il, la CPI doit donner le 28 mai prochain, son verdict sur la confirmation des charges ou non, contre M. Gbagbo.
L'Inter renseigne de son côté que le dossier de transfèrement de Mme Simone Ehivet Gbagbo a été remis sur la table. Le journal dit connaitre ce qui se prépare sur le cas Gbagbo.
Histoire des présidents africains ‘'insoumis'', écrit le Temps en présentant ‘'les raisons de l'acharnement contre Laurent Gbagbo''.
‘'Verdict du procès de Gbagbo, la semaine décisive'', renchérit le Quotidien d'Abidjan au moment où, Miaka Ouretto révèle comment le FPI va assumer sa part dans la libération e Gbagbo. Appelant ses militants à rester débout, le Président intérimaire du FPI, réclame un ‘'débat national''.
L'arrestation samedi dernier à l'Ouest de la Côte d'Ivoire, du Chef milicien, Amadé Ouérémi, continue d'alimenter l'actualité ivoirienne.
‘'Après l'arrestation d'Amadé Ouérémi, Hamed Bakayoko rasure les populations'', affiche Le Patriote, là où Notre Voie pense que pour les violations des droits de l'Homme, Human Rights Watch contredit le régime Ouattara.
Soir Info, brandit à sa Une les ‘'gros enjeux'' de cette arrestation pour le régime, alors que L'Inter croit savoir les trois péchés d'Amadé Ouérémi. ‘' Human Rights Watch réclame une enquête crédible'', ajoute ce quotidien.
Le Temps, quotidien proche de Laurent Gbagbo, qualifie de ‘'diversion'' cette arrestation. Pour ce journal, Amadé Ouérémi est un bouc émissaire pour protéger les ex-Chefs de guerre.
‘'Mais où sont passés les 500 combattants d'Amadé Ouérémi ?'' s'inquiète dans les colonnes de L'Intelligent d'Abidjan, Marie Odette Lorougnon, la Présidente des femmes du FPI.
‘'Amadé rejoint Blé Goudé. Tout sur leur lieu de détention'', écrit Dernière heure infos. LG Infos révèle de son côté qu'il y a eu des fusillades entre les hommes d'Amadé et les FRCI après l'arrestation d'Amadé Ouérémi le samedi dernier.
‘'Amadé Ouérémi était avec les forces pro-Ouattara'', affirme Matts Wells de Human Rights Watch dans les colonnes du journal Aujourd'hui. Malagré l'arrestation de leur Chef, ajoute ce quotidien, l'Ouest est toujours aux mains des hommes d'Amadé Ouérémi.
LS/APA