Abidjan – Les organisations de la société civile ivoirienne et les médias ont été invités mardi, à s’impliquer dans le processus de lutte contre la corruption initié par le Gouvernement à travers le secrétariat national à la gouvernance et au renforcement des capacités (SNGRC).
"Le dispositif seul ne suffira pas à résorber le fléau. Nous sommes tous responsables. La société civile et les médias doivent nous aider à surveiller et à dénoncer la corruption", a invité, le responsable de la SNGRC, Méité Sindou.
Selon, M. Méité, une action uniforme doit être entreprise pour lutter efficacement contre la corruption qui engendre la baisse de la croissance, et l’inefficacité des services publics.
Le gouvernement ivoirien dans sa politique de lutte contre la corruption, note-t-on, a doté les ministres d’une charte d’éthique et de déontologie, un projet de lois anti-corruption, des dispositifs de sanctions, ainsi qu’un code de bonne conduite des agents des services publics sont en cours pour que la moralisation de la vie publique soit une réalité.
La Côte d’Ivoire selon le classement 2012 de Transparency international, sur l’indice de perception de la corruption occupe le 130ème rang sur 180, avec un score de 29 sur 100.
"Le dispositif seul ne suffira pas à résorber le fléau. Nous sommes tous responsables. La société civile et les médias doivent nous aider à surveiller et à dénoncer la corruption", a invité, le responsable de la SNGRC, Méité Sindou.
Selon, M. Méité, une action uniforme doit être entreprise pour lutter efficacement contre la corruption qui engendre la baisse de la croissance, et l’inefficacité des services publics.
Le gouvernement ivoirien dans sa politique de lutte contre la corruption, note-t-on, a doté les ministres d’une charte d’éthique et de déontologie, un projet de lois anti-corruption, des dispositifs de sanctions, ainsi qu’un code de bonne conduite des agents des services publics sont en cours pour que la moralisation de la vie publique soit une réalité.
La Côte d’Ivoire selon le classement 2012 de Transparency international, sur l’indice de perception de la corruption occupe le 130ème rang sur 180, avec un score de 29 sur 100.