Agboville - La campagne principale du café-cacao a été jugée globalement satisfaisante par KouadioKouamé, délégué régional du Conseil du café-cacao basé à Agboville.
Vendredi lors d'un entretien avec la presse, il a déclaré qu'à Agboville, "les résultats sont bons et mêmes très bons". Le délégué a marqué sa satisfaction pour la qualité de la production principale allant du 02 octobre au 31 mars.
« Il n'y a presque pas eu de produits refoulés durant cette campagne », a-t-il dit pour justifier cette performance.M. Kouadio a expliqué que la sensibilisation des producteurs a permis d'obtenir du cacao de bien meilleure qualité que celui fourni durant les 10 dernières années de crise en Côte d'Ivoire.
« Nous sommes passés d'une décote de 70 % à moins de 30% », a ajouté le représentant régional du Conseil du café-cacao, précisant que l'exigence du taux d'humidité maximum de 08%, a largement contribué à la qualité du cacao présenté aux acheteurs.
« Au début, ça été difficile », a confessé le délégué régional. Les différents partenaires étaient habitués à des arrangements, où le producteur se contentait d'une décote dans le prix fixé pour un cacao mal séché, a-t-il ajouté, affirmant qu'avec la réforme, ce cacao mal séché a été refoulé de tous les magasins d'acheteurs.
Par ailleurs, la marge de 60 FCFA accordée par l'Etat dans le cadre du ramassage du produit a été respectée par les acheteurs d'Agboville, s'est réjoui Kouadio Kouamé. Il a salué le passage du système libéralisé au système semi-libéralisé, qui a assuré au producteur, un prix garantie de 725 FFCA/kg de cacao durant la campagne principale.
Pour la campagne intermédiaire débutée le 01 avril, le prix d'achat est fixé à 700 FCFA/kg.
Vendredi lors d'un entretien avec la presse, il a déclaré qu'à Agboville, "les résultats sont bons et mêmes très bons". Le délégué a marqué sa satisfaction pour la qualité de la production principale allant du 02 octobre au 31 mars.
« Il n'y a presque pas eu de produits refoulés durant cette campagne », a-t-il dit pour justifier cette performance.M. Kouadio a expliqué que la sensibilisation des producteurs a permis d'obtenir du cacao de bien meilleure qualité que celui fourni durant les 10 dernières années de crise en Côte d'Ivoire.
« Nous sommes passés d'une décote de 70 % à moins de 30% », a ajouté le représentant régional du Conseil du café-cacao, précisant que l'exigence du taux d'humidité maximum de 08%, a largement contribué à la qualité du cacao présenté aux acheteurs.
« Au début, ça été difficile », a confessé le délégué régional. Les différents partenaires étaient habitués à des arrangements, où le producteur se contentait d'une décote dans le prix fixé pour un cacao mal séché, a-t-il ajouté, affirmant qu'avec la réforme, ce cacao mal séché a été refoulé de tous les magasins d'acheteurs.
Par ailleurs, la marge de 60 FCFA accordée par l'Etat dans le cadre du ramassage du produit a été respectée par les acheteurs d'Agboville, s'est réjoui Kouadio Kouamé. Il a salué le passage du système libéralisé au système semi-libéralisé, qui a assuré au producteur, un prix garantie de 725 FFCA/kg de cacao durant la campagne principale.
Pour la campagne intermédiaire débutée le 01 avril, le prix d'achat est fixé à 700 FCFA/kg.
