Abidjan - Dans le cadre de la mise en œuvre du programme de renforcement de capacité de ses organisations membres, la Convention de la Société Civile Ivoirienne (CSCI) a organisé la deuxième édition du "Jeudi de la CSCI".
Depuis le début de l’année en cours, la CSCI a démarré une série de formation de ses organisations membres dénommées le "Jeudi de la CSCI", rappelle une note d’information de la plus grande faîtière ivoirienne d’ONG, de syndicats et d’associations de la société civile transmise dimanche à l’AIP.
Après le lancement de ce concept le 21 mars au siège de la CSCI, le deuxième "Jeudi de la CSCI" s’est tenu à l’Inadès-Formation, avec la participation de plus de 60 organisations membres de la CSCI, de représentants de ministères ivoiriens ainsi d’organisations internationales telles l’ONUCI et la Commission de l’Union Africaine.
Cette activité s’inscrit dans un vaste programme de valorisation citoyenne, d’éducation et de sensibilisation aux droits de l’Homme, de la promotion active des valeurs, pratiques et mécanismes traditionnels de toutes les communautés dans la perspective de la cohésion sociale retrouvée.
La CSCI entend ainsi jouer son rôle de veille en préparant ses organisations membres au mécanisme de contrôle citoyen de l’action publique, par leur formation très prochaine sur toute l’étendue du territoire ivoirien.
Le thème du panel, «La société civile au service des populations », s’est articulé autour de trois sous thèmes.
Il s’agit de « Les droits économiques, sociaux et culturels ; des droits méconnus ?», présenté par M. Yao Comoé Benoit, Coordonnateur du Projet EDHC à Amnesty international, « La République de Côte d’Ivoire : principes et symboles », animé par M. Gauze Julien, Président de ADJL-CI et « La société civile, une force de régulation au service du développement », développée par Dr Kouamé Christophe, Coordonnateur national de la CSCI.
Au cours de la cérémonie d’ouverture, le Coordonnateur national a fait une allocution dans laquelle il a insisté sur la nécessité pour les organisations de la société civile de fédérer toutes leurs énergies afin de constituer un maillon incontournable.
« Toute nation qui aspire à l’émergence ne saurait se construire sans une société civile forte, crédible et indépendante », a-t-il déclaré, en condamnant les récentes attaques et les vols perpétrés dans les locaux de l’ASAPSU, une organisation membre de la CSCI, par des hommes lourdement armés.
Les différents exposés des experts et les échanges qui ont suivi ont permis aux participants de mieux cerner les enjeux liés aux droits économiques sociaux et culturels, aux principes et symboles de la République et à la force de régulation que constitue la société civile dans une société où les règles et les valeurs fondamentales et républicaines sont très souvent mal vécues.
(AIP)
cmas
Depuis le début de l’année en cours, la CSCI a démarré une série de formation de ses organisations membres dénommées le "Jeudi de la CSCI", rappelle une note d’information de la plus grande faîtière ivoirienne d’ONG, de syndicats et d’associations de la société civile transmise dimanche à l’AIP.
Après le lancement de ce concept le 21 mars au siège de la CSCI, le deuxième "Jeudi de la CSCI" s’est tenu à l’Inadès-Formation, avec la participation de plus de 60 organisations membres de la CSCI, de représentants de ministères ivoiriens ainsi d’organisations internationales telles l’ONUCI et la Commission de l’Union Africaine.
Cette activité s’inscrit dans un vaste programme de valorisation citoyenne, d’éducation et de sensibilisation aux droits de l’Homme, de la promotion active des valeurs, pratiques et mécanismes traditionnels de toutes les communautés dans la perspective de la cohésion sociale retrouvée.
La CSCI entend ainsi jouer son rôle de veille en préparant ses organisations membres au mécanisme de contrôle citoyen de l’action publique, par leur formation très prochaine sur toute l’étendue du territoire ivoirien.
Le thème du panel, «La société civile au service des populations », s’est articulé autour de trois sous thèmes.
Il s’agit de « Les droits économiques, sociaux et culturels ; des droits méconnus ?», présenté par M. Yao Comoé Benoit, Coordonnateur du Projet EDHC à Amnesty international, « La République de Côte d’Ivoire : principes et symboles », animé par M. Gauze Julien, Président de ADJL-CI et « La société civile, une force de régulation au service du développement », développée par Dr Kouamé Christophe, Coordonnateur national de la CSCI.
Au cours de la cérémonie d’ouverture, le Coordonnateur national a fait une allocution dans laquelle il a insisté sur la nécessité pour les organisations de la société civile de fédérer toutes leurs énergies afin de constituer un maillon incontournable.
« Toute nation qui aspire à l’émergence ne saurait se construire sans une société civile forte, crédible et indépendante », a-t-il déclaré, en condamnant les récentes attaques et les vols perpétrés dans les locaux de l’ASAPSU, une organisation membre de la CSCI, par des hommes lourdement armés.
Les différents exposés des experts et les échanges qui ont suivi ont permis aux participants de mieux cerner les enjeux liés aux droits économiques sociaux et culturels, aux principes et symboles de la République et à la force de régulation que constitue la société civile dans une société où les règles et les valeurs fondamentales et républicaines sont très souvent mal vécues.
(AIP)
cmas