Bouaké, 12 juin (AIP) - Une délégation de la présidence de la République a échangé avec les responsables des universités et grandes écoles, ainsi que ceux des établissements techniques et professionnels de Bouaké sur les dispositions nécessaires pour une adéquation formation et emploi des jeunes.
La délégation présidentielle qui était accompagnée d'experts français, a fait savoir qu'il s'agit, pour elle, de recueillir les propositions et de faire en sorte à répondre de façon efficiente aux exigences de la relance des activités socioéconomiques dans les régions du pays après une décennie de crise sociopolitique.
Cette mission de prospection à l'intérieur du pays vise également à lutter contre le problème du chômage des jeunes ivoiriens, afin de garantir l'émergence de la Côte d'Ivoire à l'horizon 2020.
Au cours de la séance de travail tenue à la salle de conférences du centre universitaire de Bouaké, la délégation a fait remarquer que la réduction du chômage passe par la restructuration du système de formation des étudiants dans les universités, grandes écoles et établissements d'enseignement technique et professionnel qui devront désormais cadrer avec les besoins des entreprises.
Le conseiller du président de la République chargé de l'administration publique, de la décentralisation et de l'aménagement du territoire, Tchéré Séka, a expliqué que le secteur privé, aujourd'hui véritable catalyseur de la création des richesses et des emplois, doit connaitre une réelle restructuration par la mise en place de ressources humaines adaptées aux aspirations actuelles du développement socioprofessionnel et socioéconomique du pays.
''Une région, c'est un ensemble d'activités économiques, sociales et culturelles et en la matière, il faut créer une synergie entre les différents acteurs de la région pour lui permettre de bénéficier des forces vives, des cadres et des populations de toutes les formations, afin de relancer son développement'', a fait savoir Tchéré Séka.
Pour l'expert français, Serge Riffard, professeur de microbiologie et vice-président chargé des relations internationales à l'université de Saint Etienne, en France, a indiqué qu'il est nécessaire, pour eux, de diagnostiquer le potentiel universitaire pour l'intégrer dans les besoins des acteurs économiques.
(aip)
Nam/kp
La délégation présidentielle qui était accompagnée d'experts français, a fait savoir qu'il s'agit, pour elle, de recueillir les propositions et de faire en sorte à répondre de façon efficiente aux exigences de la relance des activités socioéconomiques dans les régions du pays après une décennie de crise sociopolitique.
Cette mission de prospection à l'intérieur du pays vise également à lutter contre le problème du chômage des jeunes ivoiriens, afin de garantir l'émergence de la Côte d'Ivoire à l'horizon 2020.
Au cours de la séance de travail tenue à la salle de conférences du centre universitaire de Bouaké, la délégation a fait remarquer que la réduction du chômage passe par la restructuration du système de formation des étudiants dans les universités, grandes écoles et établissements d'enseignement technique et professionnel qui devront désormais cadrer avec les besoins des entreprises.
Le conseiller du président de la République chargé de l'administration publique, de la décentralisation et de l'aménagement du territoire, Tchéré Séka, a expliqué que le secteur privé, aujourd'hui véritable catalyseur de la création des richesses et des emplois, doit connaitre une réelle restructuration par la mise en place de ressources humaines adaptées aux aspirations actuelles du développement socioprofessionnel et socioéconomique du pays.
''Une région, c'est un ensemble d'activités économiques, sociales et culturelles et en la matière, il faut créer une synergie entre les différents acteurs de la région pour lui permettre de bénéficier des forces vives, des cadres et des populations de toutes les formations, afin de relancer son développement'', a fait savoir Tchéré Séka.
Pour l'expert français, Serge Riffard, professeur de microbiologie et vice-président chargé des relations internationales à l'université de Saint Etienne, en France, a indiqué qu'il est nécessaire, pour eux, de diagnostiquer le potentiel universitaire pour l'intégrer dans les besoins des acteurs économiques.
(aip)
Nam/kp
