Bongouanou - La ville de M’Batto, située dans la région du Moronou, a abrité mercredi, la célébration de la journée mondiale contre le travail des enfants portant cette année sur le thème "Non au travail des enfants dans le travail domestique".
Selon la directrice du centre social de M’Batto, Kwamin Flora, le travail des enfants dans le travail domestique est différent des tâches effectuées par ceux-ci dans le cadre de vie de la famille et qui concourt à leur éducation.
"Ce qui est en cause, c’est tout travail réalisé par des enfants en dessous de l’âge minimum applicable (18 ans) dans des formes dangereuses ou dans une situation proche de l’esclavage", a-t-elle fait savoir de façon succincte à la foule qui s’est amassée à "la place gravier" de la localité pour commémorer l’évènement.
Pour le directeur international du Projet cacao au Bureau international du travail (BIT), Boua Bi Semien Honoré, cette forme de travail des enfants est un mal qu’il faut combattre. Il estime qu’il comporte de nombreux risques pour ces derniers notamment, la perturbation de leur développement psychoaffectif, l’infection au VIH/SIDA.
"Pour éradiquer le travail des enfants, il faut promouvoir l’éducation; c’est ainsi que nous offrirons aux plus jeunes la possibilité de se réaliser demain", a-t-il exhorté.
Selon les derniers chiffres produits par le BIT, sur environ 210 millions d’enfants utilisés quotidiennement dans le monde pour des activités de production, plus de 15 millions sont employés dans le travail domestique. Et en Côte d’Ivoire, sur plus d’un million d’enfants travailleurs, plus de 15% sont dans les travaux domestiques.
Selon la directrice du centre social de M’Batto, Kwamin Flora, le travail des enfants dans le travail domestique est différent des tâches effectuées par ceux-ci dans le cadre de vie de la famille et qui concourt à leur éducation.
"Ce qui est en cause, c’est tout travail réalisé par des enfants en dessous de l’âge minimum applicable (18 ans) dans des formes dangereuses ou dans une situation proche de l’esclavage", a-t-elle fait savoir de façon succincte à la foule qui s’est amassée à "la place gravier" de la localité pour commémorer l’évènement.
Pour le directeur international du Projet cacao au Bureau international du travail (BIT), Boua Bi Semien Honoré, cette forme de travail des enfants est un mal qu’il faut combattre. Il estime qu’il comporte de nombreux risques pour ces derniers notamment, la perturbation de leur développement psychoaffectif, l’infection au VIH/SIDA.
"Pour éradiquer le travail des enfants, il faut promouvoir l’éducation; c’est ainsi que nous offrirons aux plus jeunes la possibilité de se réaliser demain", a-t-il exhorté.
Selon les derniers chiffres produits par le BIT, sur environ 210 millions d’enfants utilisés quotidiennement dans le monde pour des activités de production, plus de 15 millions sont employés dans le travail domestique. Et en Côte d’Ivoire, sur plus d’un million d’enfants travailleurs, plus de 15% sont dans les travaux domestiques.