Abidjan - Le Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI) dit prendre acte de la suspension des 34 journaux par le Conseil national de la presse (CNP), tout en déplorant la célérité de l’application de ces genres de mesures.
« Tout en déplorant la célérité de l’application de ces genres de mesures, spontanéité que rien ne justifie mais qui met gravement à mal les entreprises et leurs titres frappés, relativement à leurs engagements avec les annonceurs et les partenaires, le GEPCI prend acte des décisions du CNP dans sa mission d’assainissement de la profession », rapporte le GEPCI dans un communiqué de presse publié vendredi.
Le GEPCI se propose de rencontrer le collège des conseillers du CNP pour « envisager les voies et moyens d’aider au retour rapide des journaux suspendus sur le marché ». Il félicite les neuf entreprises reconnues pour leur régularité vis-à-vis de la loi et encourage les 43 autres mises en demeure à fournir les efforts supplémentaires pour se mettre totalement en règle.
Le président du CNP, Raphaël Lakpé a annoncé au cours d’une conférence de presse, lundi, la suspension de 34 entreprises de presse et la mise en demeure de 26 autres pour « assainir le marché de la presse, instaurer un climat de concurrence loyale, valoriser la fonction de journaliste professionnel et professionnaliser la communication, encourager le management rigoureux des ressources humaines et le civisme fiscal ainsi que l’incitation des entreprises du secteur à remplir leurs obligations sociales».
Selon M. Lapké, celles qui sont mises en demeure ont 15 jours pour se mettre en règle au risque d’être elles aussi suspendues. Aussi, 17 autres entreprises non visités par le CNP parce qu’elles ont disparu du marché et seraient susceptibles d’y revenir ont été également suspendues. Ces dernières ne pourront revenir sur le marché qu’à condition de régulariser complètement leur situation.
Cette opération d’évaluation entamée par le CNP le 23 octobre 2012 dans 64 entreprises de presse, a porté notamment sur la détention de la carte d’identité de journaliste professionnel par le rédacteur en chef, son adjoint, ainsi que le secrétaire général, le pourcentage des journalistes professionnels au sein des rédactions qui doit être supérieur à 50% et du dépôt de la déclaration individuelle des salaires annuels à la CNPS.
« Tout en déplorant la célérité de l’application de ces genres de mesures, spontanéité que rien ne justifie mais qui met gravement à mal les entreprises et leurs titres frappés, relativement à leurs engagements avec les annonceurs et les partenaires, le GEPCI prend acte des décisions du CNP dans sa mission d’assainissement de la profession », rapporte le GEPCI dans un communiqué de presse publié vendredi.
Le GEPCI se propose de rencontrer le collège des conseillers du CNP pour « envisager les voies et moyens d’aider au retour rapide des journaux suspendus sur le marché ». Il félicite les neuf entreprises reconnues pour leur régularité vis-à-vis de la loi et encourage les 43 autres mises en demeure à fournir les efforts supplémentaires pour se mettre totalement en règle.
Le président du CNP, Raphaël Lakpé a annoncé au cours d’une conférence de presse, lundi, la suspension de 34 entreprises de presse et la mise en demeure de 26 autres pour « assainir le marché de la presse, instaurer un climat de concurrence loyale, valoriser la fonction de journaliste professionnel et professionnaliser la communication, encourager le management rigoureux des ressources humaines et le civisme fiscal ainsi que l’incitation des entreprises du secteur à remplir leurs obligations sociales».
Selon M. Lapké, celles qui sont mises en demeure ont 15 jours pour se mettre en règle au risque d’être elles aussi suspendues. Aussi, 17 autres entreprises non visités par le CNP parce qu’elles ont disparu du marché et seraient susceptibles d’y revenir ont été également suspendues. Ces dernières ne pourront revenir sur le marché qu’à condition de régulariser complètement leur situation.
Cette opération d’évaluation entamée par le CNP le 23 octobre 2012 dans 64 entreprises de presse, a porté notamment sur la détention de la carte d’identité de journaliste professionnel par le rédacteur en chef, son adjoint, ainsi que le secrétaire général, le pourcentage des journalistes professionnels au sein des rédactions qui doit être supérieur à 50% et du dépôt de la déclaration individuelle des salaires annuels à la CNPS.