Tiémé – La jeunesse communale sera privée d’activités socioculturelles pendant grandes vacances à Tiémé, en raison de nombreux problèmes financiers et organisationnels.
L’information a été donnée par le président de la jeunesse communale, Sylla Ismaël, lors d’un entretien avec l’AIP, mardi.
Selon M. Sylla, la décision de suspendre les activités socioculturelles dans la ville pendant ces vacances a été prise pour dans un premier des raisons liées à l’organisation.
En effet, "avec le jeûne du mois de Ramadan en juillet, les pluies et les travaux champêtres, aucune organisation de manifestations n’est possible’’, a-t-il justifié.
Poursuivant ses explications, M. Sylla a présenté le manque de moyen financier comme un frein à la promotion des activités socioculturelles à Tiémé mais il indexe aussi les cadres qui ont d’autres priorités que la culture. "Les cadres ne s’intéressent pas aux activités culturelles, ils préfèrent, selon eux, des projets de développement", a-t-il dit.
Le premier responsable de la jeunesse communale de Tiémé accuse les jeunes qui ne considèrent pas ces activités socioculturelles comme moyen de leur épanouissement. Ils n’ont d’égard que pour le "Mahouloud, seul moment où ils viennent à Tiémé", a-t-il fait observer.
Depuis quelques années, les vacances constituent une période d’inactivités culturelles à Tiémé, précise-t-on.
L’information a été donnée par le président de la jeunesse communale, Sylla Ismaël, lors d’un entretien avec l’AIP, mardi.
Selon M. Sylla, la décision de suspendre les activités socioculturelles dans la ville pendant ces vacances a été prise pour dans un premier des raisons liées à l’organisation.
En effet, "avec le jeûne du mois de Ramadan en juillet, les pluies et les travaux champêtres, aucune organisation de manifestations n’est possible’’, a-t-il justifié.
Poursuivant ses explications, M. Sylla a présenté le manque de moyen financier comme un frein à la promotion des activités socioculturelles à Tiémé mais il indexe aussi les cadres qui ont d’autres priorités que la culture. "Les cadres ne s’intéressent pas aux activités culturelles, ils préfèrent, selon eux, des projets de développement", a-t-il dit.
Le premier responsable de la jeunesse communale de Tiémé accuse les jeunes qui ne considèrent pas ces activités socioculturelles comme moyen de leur épanouissement. Ils n’ont d’égard que pour le "Mahouloud, seul moment où ils viennent à Tiémé", a-t-il fait observer.
Depuis quelques années, les vacances constituent une période d’inactivités culturelles à Tiémé, précise-t-on.