Daloa – Une vingtaine de journalistes et animateurs des radios de proximité issus des régions du Cavally, du Guémon, du Haut-Sassandra et de la Marahoué, ont été instruits, mercredi, sur les activités de la Croix Rouge, notamment sur son mode de fonctionnement, placé parfois sous le sceau de la confidentialité qui ne permet pas toujours un traitement public des informations dudit mouvement.
L’objectif de cet atelier-presse initié par le Bureau du Comité International de la Croix Rouge (CICR) basé à Guiglo (Ouest), est de permettre aux hommes des médias de mieux s’imprégner du contenu du Droit international Humanitaire (DIH), socle du mouvement Croix Rouge et Croissant Rouge, afin d’apporter efficacement leur contribution à l’effort d’assistance humanitaire.
Les échanges entre les différents intervenants, notamment Pascal Jequier, responsable de la communication au CICR, Verena Grabscheid, chef de la sous-délégation CICR de Guiglo et les participants, ont permis aux uns et aux autres d’éclaircir un certain nombre de points concernant la publication des informations émanant de l’institution.
S’agissant des activités d’assistance qui consistent à amener de l’assistance physique aux déplacées dans le domaine alimentaire, agricole ou de la santé, il n’y aurait pas d’obstacle à en parler. Par contre, il est plus difficile, ont-t-il dit, d’expliquer en quoi consiste le travail de protection (un travail qui se passe derrière le rideau, de manière confidentielle avec les parties au conflit).
Cela ne relève pas du domaine public et il était important d’éclairer les acteurs des médias sur cet aspect des principes du mouvement qui tient sa force et sa légitimité du respect de la confidentialité, indique-t-on.
L’objectif de cet atelier-presse initié par le Bureau du Comité International de la Croix Rouge (CICR) basé à Guiglo (Ouest), est de permettre aux hommes des médias de mieux s’imprégner du contenu du Droit international Humanitaire (DIH), socle du mouvement Croix Rouge et Croissant Rouge, afin d’apporter efficacement leur contribution à l’effort d’assistance humanitaire.
Les échanges entre les différents intervenants, notamment Pascal Jequier, responsable de la communication au CICR, Verena Grabscheid, chef de la sous-délégation CICR de Guiglo et les participants, ont permis aux uns et aux autres d’éclaircir un certain nombre de points concernant la publication des informations émanant de l’institution.
S’agissant des activités d’assistance qui consistent à amener de l’assistance physique aux déplacées dans le domaine alimentaire, agricole ou de la santé, il n’y aurait pas d’obstacle à en parler. Par contre, il est plus difficile, ont-t-il dit, d’expliquer en quoi consiste le travail de protection (un travail qui se passe derrière le rideau, de manière confidentielle avec les parties au conflit).
Cela ne relève pas du domaine public et il était important d’éclairer les acteurs des médias sur cet aspect des principes du mouvement qui tient sa force et sa légitimité du respect de la confidentialité, indique-t-on.