Bouaflé – Les populations de Bantifla et Iribafla (60 km de Bouaflé) ont été invitées à refuser le travail des enfants sous toutes ses formes, à l’occasion d’une tournée de sensibilisation organisée vendredi par le Bureau international du travail (BIT) dans ces localités.
« Refuser cette situation car c’est une activité avant l’âge qui met les enfants au travail et qui les empêche de devenir de bons citoyens et des cadres comme ministre, directeur, infirmier ou instituteur. Quand on a commencé précocement à travailler, cela veut dire qu’on ne va pas à l’école et qu’on apprend rien », a fait savoir le directeur international du Projet cacao, Bouah Bi Semien Honoré.
A l’occasion de la 11ème édition de la journée mondiale de lutte contre le travail des enfants, M. Bouah Bi a indiqué qu’il faut créer les conditions pour que les enfants aillent à l’école, car, a-t-il ajouté, l’école est la seule solution, le seul moyen de changer la vie d’un homme dans le bon sens.
« Chers parents, c’est à vous de faire en sorte que les enfants aillent à l’école car un enfant ne peut décider de son propre avenir. Vous avez le devoir d’assurer son éducation en l’envoyant à l’école », a-t-il dit, précisant qu’un enfant peut accompagner ses parents aux champs, sans être la principale force de production des travaux champêtres.
Le directeur international du Projet cacao a rappelé le rôle primordial du BIT qui consacre l’essentiel de ses activités à promouvoir l’Education. Il s’est félicité du don de 150 tables-bancs aux écoles primaires publiques de Bantifla et Iribafla et de l’établissement de 100 extraits de naissance à des enfants, grâce au BIT.
Plus de 210 millions d’enfants sont encore utilisés comme des travailleurs précoces dans les plantations, mines artisanales, et autres activités de forgerie dans le monde entier.
« Refuser cette situation car c’est une activité avant l’âge qui met les enfants au travail et qui les empêche de devenir de bons citoyens et des cadres comme ministre, directeur, infirmier ou instituteur. Quand on a commencé précocement à travailler, cela veut dire qu’on ne va pas à l’école et qu’on apprend rien », a fait savoir le directeur international du Projet cacao, Bouah Bi Semien Honoré.
A l’occasion de la 11ème édition de la journée mondiale de lutte contre le travail des enfants, M. Bouah Bi a indiqué qu’il faut créer les conditions pour que les enfants aillent à l’école, car, a-t-il ajouté, l’école est la seule solution, le seul moyen de changer la vie d’un homme dans le bon sens.
« Chers parents, c’est à vous de faire en sorte que les enfants aillent à l’école car un enfant ne peut décider de son propre avenir. Vous avez le devoir d’assurer son éducation en l’envoyant à l’école », a-t-il dit, précisant qu’un enfant peut accompagner ses parents aux champs, sans être la principale force de production des travaux champêtres.
Le directeur international du Projet cacao a rappelé le rôle primordial du BIT qui consacre l’essentiel de ses activités à promouvoir l’Education. Il s’est félicité du don de 150 tables-bancs aux écoles primaires publiques de Bantifla et Iribafla et de l’établissement de 100 extraits de naissance à des enfants, grâce au BIT.
Plus de 210 millions d’enfants sont encore utilisés comme des travailleurs précoces dans les plantations, mines artisanales, et autres activités de forgerie dans le monde entier.