Le Directeur Général du Laboratoire national de la santé publique (Lnsp), Malan Kla, soucieux de la qualité des produits mis à la disposition des populations, souhaite la mise en place de tests contraignants à l’encontre des fabricants.
« Nous avons le dispositif pour contrôler certains produits», a déclaré Malan Kla, Dg du Laboratoire national de la santé publique (Lnsp), lors de la cérémonie de présentation de l’accréditation de ladite structure, le mardi 25 juin dernier, à Treichville. Visiblement fier de l’obtention de cette certification, il a expliqué que sa structure est capable de réaliser des tests portant « sur les produits éclaircissants, les antiseptiques, des médicaments, des aliments, des problèmes liés à la toxicologie médico-légale, à l’expertise par rapport à la radio protection et également par rapport au contrôle des préservatifs». Par ailleurs, il a fait savoir que certaines entreprises les consultent avant de mettre leurs produits sur le marché. Aussi, a-t-il révélé que le Laboratoire opère de temps en temps des contrôles et des saisies de médicaments dont la qualité n’est pas avérée sur le marché. « Malheureusement, dans certains cas ce sont des médicaments du circuit officiel qui se retrouvent sur le marché illicite », a-t-il déploré. Raison pour laquelle dans une adresse à Madame la ministre de la Santé et de la Lutte contre le Vih / sida, Goudou Coffie Raymonde, il a évoqué la nécessité d’élaborer des textes contraignants, qui imposent aux fabricants de ces produits cosmétiques d’être audités et d’avoir un contrôle de leurs produits avant leur mise sur le marché. Puisque selon lui, les textes qui contraignent les fabricants de ces produits ou même la répression qui doit être faite par le ministère du Commerce sont insuffisants. Outre ce fait, la collaboration dans ce secteur n’est pas de mise. Du coup, la marge de manœuvre du laboratoire est réduite. « Le laboratoire national de la santé publique (Lnsp) est une structure officielle et tous les marché illicites nous échappent même s’il y a en amont des structures de réglementation telles que la direction de la pharmacie et du médicament, la répression des fraudes au niveau du ministère du Commerce, la direction des normes et des qualités au niveau du ministère de l’Industrie.
», a-t-il regretté.
Marie Paule Koffi
« Nous avons le dispositif pour contrôler certains produits», a déclaré Malan Kla, Dg du Laboratoire national de la santé publique (Lnsp), lors de la cérémonie de présentation de l’accréditation de ladite structure, le mardi 25 juin dernier, à Treichville. Visiblement fier de l’obtention de cette certification, il a expliqué que sa structure est capable de réaliser des tests portant « sur les produits éclaircissants, les antiseptiques, des médicaments, des aliments, des problèmes liés à la toxicologie médico-légale, à l’expertise par rapport à la radio protection et également par rapport au contrôle des préservatifs». Par ailleurs, il a fait savoir que certaines entreprises les consultent avant de mettre leurs produits sur le marché. Aussi, a-t-il révélé que le Laboratoire opère de temps en temps des contrôles et des saisies de médicaments dont la qualité n’est pas avérée sur le marché. « Malheureusement, dans certains cas ce sont des médicaments du circuit officiel qui se retrouvent sur le marché illicite », a-t-il déploré. Raison pour laquelle dans une adresse à Madame la ministre de la Santé et de la Lutte contre le Vih / sida, Goudou Coffie Raymonde, il a évoqué la nécessité d’élaborer des textes contraignants, qui imposent aux fabricants de ces produits cosmétiques d’être audités et d’avoir un contrôle de leurs produits avant leur mise sur le marché. Puisque selon lui, les textes qui contraignent les fabricants de ces produits ou même la répression qui doit être faite par le ministère du Commerce sont insuffisants. Outre ce fait, la collaboration dans ce secteur n’est pas de mise. Du coup, la marge de manœuvre du laboratoire est réduite. « Le laboratoire national de la santé publique (Lnsp) est une structure officielle et tous les marché illicites nous échappent même s’il y a en amont des structures de réglementation telles que la direction de la pharmacie et du médicament, la répression des fraudes au niveau du ministère du Commerce, la direction des normes et des qualités au niveau du ministère de l’Industrie.
», a-t-il regretté.
Marie Paule Koffi