Abidjan - Neuf entreprises de presse voient leur mise en demeure ou suspension levées par le collège des conseillers du Conseil national de la presse (CNP), après s'être mises en règle vis-à-vis de la loi sur la presse.
Au terme de l'examen des compléments de dossiers fournis par un groupe d'entreprises de presse, le CNP, dans sa 14ème session ordinaire tenue jeudi à Abidjan, a décidé d'autoriser le fonctionnement des sociétés éditrices des quotidiens Dernière Heure Info, L'Intelligent d'Abidjan, Le Nouveau Courrier, Aujourd'hui ainsi que celles des périodiques Trader (mensuel), Le Nouveau Navire (hebdomadaire), Top Visages (hebdomadaire), Koundan (bimestriel) et Cordon Bleu (mensuel).
"Toutes celles ayant déposé leurs dossiers, et dont les noms ne figurent pas dans le présent communiqué, ont vu leurs requêtes rejetées à l'issue des délibérations", fait savoir le CNP qui précise que les motifs des rejets leur seront communiqués par voie de correspondance.
Au vu d'un certain nombre de manquements de règles établies, l'instance de régulation de la presse écrite a décidé de la suspension d'une trentaine d'organes, en vue "d'assainir le marché de la presse pour instaurer un climat de concurrence loyale, à valoriser la fonction de journaliste professionnel et de professionnel de la communication".
Au terme de l'examen des compléments de dossiers fournis par un groupe d'entreprises de presse, le CNP, dans sa 14ème session ordinaire tenue jeudi à Abidjan, a décidé d'autoriser le fonctionnement des sociétés éditrices des quotidiens Dernière Heure Info, L'Intelligent d'Abidjan, Le Nouveau Courrier, Aujourd'hui ainsi que celles des périodiques Trader (mensuel), Le Nouveau Navire (hebdomadaire), Top Visages (hebdomadaire), Koundan (bimestriel) et Cordon Bleu (mensuel).
"Toutes celles ayant déposé leurs dossiers, et dont les noms ne figurent pas dans le présent communiqué, ont vu leurs requêtes rejetées à l'issue des délibérations", fait savoir le CNP qui précise que les motifs des rejets leur seront communiqués par voie de correspondance.
Au vu d'un certain nombre de manquements de règles établies, l'instance de régulation de la presse écrite a décidé de la suspension d'une trentaine d'organes, en vue "d'assainir le marché de la presse pour instaurer un climat de concurrence loyale, à valoriser la fonction de journaliste professionnel et de professionnel de la communication".