ABIDJAN - Les attaques répétées des troupeaux d'éléphants et de buffles sèment l'inquiétude au sein des habitants de plusieurs villages de la région de Daloa (centre- ouest), ont indiqué mardi des villageois à Xinhua.
A en croire ceux-ci, ces animaux féroces probablement sortis du parc de la Marahoué situé dans la zone se retrouvent par moment sur le chemin des villageois qui partent pour leurs travaux champêtres.
Les pachydermes s'attaquent non seulement aux plantations, mais aussi aux humains.
Plusieurs planteurs ont ainsi momentanément abandonné leurs plantations pour éviter de se retrouver nez-à-nez avec les animaux agressifs.
A en croire Nestor Baroan, un jeune villageois, des buffles et éléphants égarés ont blessé dans un passé récent plusieurs personnes dans les forêts de Bédiala, Gnamanou et Bandiahi ( département de Daloa).
Deux élèves avaient ainsi été blessés au ventre par des buffles, et un villageois et son épouse avaient été chargés par des éléphants égarés.
"Ils ont été plus chanceux, car dans d'autres villages de la région, il y a eu des morts après des attaques similaires", a soutenu M. Baroan.
Pour des autorités forestières, l'action humaine se trouve à la base de ces agressions répétées des buffles et éléphants.
"L'on assiste à une destruction de l'habitat naturel de ces animaux qui par ailleurs sont menacés par les braconniers. Les éléphants et buffles ayant perdu leur habitat, se retrouvent hors du parc et constituent un danger pour la population", a expliqué un officier de la police forestière.
Celui-ci a par ailleurs indiqué que la plupart des villageois agressés sont ceux qui habitent les aires protégées.
L'officier s'est ainsi réjoui de la décision du gouvernement de déguerpir les populations clandestines installées dans les parcs, réserves et forêts classées, ce qui selon lui empêchera les contacts entre les villageois et les animaux féroces et par conséquent réduira les agressions.
A en croire ceux-ci, ces animaux féroces probablement sortis du parc de la Marahoué situé dans la zone se retrouvent par moment sur le chemin des villageois qui partent pour leurs travaux champêtres.
Les pachydermes s'attaquent non seulement aux plantations, mais aussi aux humains.
Plusieurs planteurs ont ainsi momentanément abandonné leurs plantations pour éviter de se retrouver nez-à-nez avec les animaux agressifs.
A en croire Nestor Baroan, un jeune villageois, des buffles et éléphants égarés ont blessé dans un passé récent plusieurs personnes dans les forêts de Bédiala, Gnamanou et Bandiahi ( département de Daloa).
Deux élèves avaient ainsi été blessés au ventre par des buffles, et un villageois et son épouse avaient été chargés par des éléphants égarés.
"Ils ont été plus chanceux, car dans d'autres villages de la région, il y a eu des morts après des attaques similaires", a soutenu M. Baroan.
Pour des autorités forestières, l'action humaine se trouve à la base de ces agressions répétées des buffles et éléphants.
"L'on assiste à une destruction de l'habitat naturel de ces animaux qui par ailleurs sont menacés par les braconniers. Les éléphants et buffles ayant perdu leur habitat, se retrouvent hors du parc et constituent un danger pour la population", a expliqué un officier de la police forestière.
Celui-ci a par ailleurs indiqué que la plupart des villageois agressés sont ceux qui habitent les aires protégées.
L'officier s'est ainsi réjoui de la décision du gouvernement de déguerpir les populations clandestines installées dans les parcs, réserves et forêts classées, ce qui selon lui empêchera les contacts entre les villageois et les animaux féroces et par conséquent réduira les agressions.