Touba - Cinquante sept chefs de village, imams et pasteurs de la région du Bafing ont été formés sur la gestion de conflits en vue de sauvegarder et renforcer la cohésion sociale entre les populations.
Dénommée "journée de la solidarité et de la cohésion sociale", la formetion a eu lieu samedi, sous l’initiative de l’Ong Search for common ground (Sfcg).
"Notre souci, c’est de voir les conflits se régler sans violence et la paix s’imposer", a indiqué le représentant du Sfcg, Chérif Daouda, invitant les étudiants du jour à utiliser ces connaissances pour une résolution positive des conflits.
Selon le guide réligieux, El Hadj Fadiga Karamoko, pour résoudre un conflit, il faut identifier la meilleure approche, repérer la source et arriver à un accord mutuel tout insistant sur les piliers de la réconciliation que sont la vérité, la repentance, le pardon et la justice.
"Il faut transformer les conflits en une paix durable et privilégier la prévention pour éviter les violences", ajoute le maire de Touba, Bamba Lamine.
Les communications des différentes communautés musulmane et chrétienne, de la chefferie traditionnelle, des jeunes et des femmes ont convergé vers le même message, il faut pardonner, se donner la main pour construire le pays.
"Quand il y a conflit, il faut s’asseoir pour trouver un terrain d’entente pour se réconcilier en vue de développer la nation ivoirienne", a soutenu le président de l’amicale des pasteurs du Bafing, Dion Petronille.
(AIP)
dm/en/kam
(AIP)
Dénommée "journée de la solidarité et de la cohésion sociale", la formetion a eu lieu samedi, sous l’initiative de l’Ong Search for common ground (Sfcg).
"Notre souci, c’est de voir les conflits se régler sans violence et la paix s’imposer", a indiqué le représentant du Sfcg, Chérif Daouda, invitant les étudiants du jour à utiliser ces connaissances pour une résolution positive des conflits.
Selon le guide réligieux, El Hadj Fadiga Karamoko, pour résoudre un conflit, il faut identifier la meilleure approche, repérer la source et arriver à un accord mutuel tout insistant sur les piliers de la réconciliation que sont la vérité, la repentance, le pardon et la justice.
"Il faut transformer les conflits en une paix durable et privilégier la prévention pour éviter les violences", ajoute le maire de Touba, Bamba Lamine.
Les communications des différentes communautés musulmane et chrétienne, de la chefferie traditionnelle, des jeunes et des femmes ont convergé vers le même message, il faut pardonner, se donner la main pour construire le pays.
"Quand il y a conflit, il faut s’asseoir pour trouver un terrain d’entente pour se réconcilier en vue de développer la nation ivoirienne", a soutenu le président de l’amicale des pasteurs du Bafing, Dion Petronille.
(AIP)
dm/en/kam
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